lundi 11 mai 2009

Tristesse d'Amour :

Cliquez sur n'importe quel site Web qui les pourparlers de tristesse d'amour. Vous obtiendrez des yeux moites après quelque temps. Les citations{*cours*} de quelques personnes de la tristesse qu'ils sentent après la perte de l'amour volent très avec émotion en éclats. Pourquoi devrait aimer apportent tant de tristesse ? Quand une personne aimée part pour quelqu'un autrement, pourquoi font la plupart d'entre nous le sens dévasté ? Pour beaucoup d'entre nous c'est une terre secouant l'expérience. Ce qui était le plaisir pur transforme en douleur absolue qui est insupportable.Pourquoi l'amour perdu apporte tant de tristesse ? Un amateur{*amant*} crie ses/ses yeux secs avec la tristesse, mais la tristesse ne part pas. Plus un essais d'éviter pour penser de l'amour perdu, plus de mémoires reviennent. Chaque tache{*endroit*} où vous avez partagé quelque chose, chaque route où vous avez marché ensemble, chaque incident que vous a partagé, ils deviennent tous des plaies profondes qui ne guérissent jamais . Ils emportent l'essence de vie. Ils laissent{*quittent*} celui perdu pour toujours dans la tristesse avec une solitude qui refuse de partir.Ce qui fait les gens qui partent leur amateur{*amant*} pense après le depart ? Je n'y ai aucun indice. Mais je sais{*connais*} un fait. De telles brutes essayent de justifier leur action de beaucoup de façons. C'est leur façon de dire à leur conscience propre que que ils ont fait était correct. Quoiqu'ils justifient de beaucoup de façons, je me demande s'ils sont jamais satisfaits de leurs explications propres ? Un grand avantage de tels gens qui laissent{*quittent*} une vie triste est - Ils partent après l'octroi de tant de douleur que celui qui est laissé{*quitté*} n'a aucun désir ou énergie de leur retourner et demander - Pourquoi ? Rencontrer son amour perdu peut de nouveau devenir très effrayant à cause de la douleur donnée auparavant. On peut commencer à transpirer à la même pensée.Après le savoir de cette tristesse, je peux seulement dire que l'on estime que la mort est meilleure que vivre avec une telle tristesse. La vie devient impossible. Comme il n'y a aucune façon de punir les brutes qui laissent{*quittent*} une vie brisée, la seule prière que l'on peut faire est - Dieu, laissez s'il vous plaît elle/lui savoir{*connaître*} de ce qu'elle/il a fait. Demandez s'il vous plaît à elle/lui de vous repentir et revenir.

Construction de l'Obligation dans votre Rapport

Une obligation (le rapport sage) est quand deux personnes ont un rapport{*une connexion*}. Étant attiré l'un à l'autre et la division de valeurs communes et des intérêts a réconcilié les deux d'entre vous comme un couple, mais l'obligation{*le lien*} n'a pas été mise complètement. En plus du fait que vous avez l'amour et le soin entre vous, vous devez aussi voir si vraiment les deux d'entre vous sont amis. Est-ce qu'il est possible d'être ami ? Absolument! En fait, il est un doit si les deux d'entre vous vont construire une obligation{*un lien*} durable.L'ayant d'un désir{*regret*} fort et d'une passion pour un autre est important, mais n'est pas assez de carburant pour tenir la course{*direction*} d'obligation{*de lien*}. Avec l'amitié, votre rapport restera ayant cette force sous toutes les sortes de circonstances. Il y aura des temps, par exemple, quand vous comme un couple ne vit pas dans vos temps les plus passionnés. C'est naturel et ne signifie pas qu'il n'y a plus l'amour ou le désir. Comme votre rapport s'approfondit, vous passerez beaucoup d'expériences et étapes{*scènes*} qui peuvent mettre votre roman et fréquenter le sexe chaud de côté pour peu de temps. C'est où l'amitié entre et pourquoi c'est si important. Vous devriez être là l'un pour l'autre et comprendre les situations de votre associé et des soucis{*entreprises*}. Jetez juste un coup d'oeil à vos amis. Voir ce qui rend votre amitié avec eux si grand. Vous devez alors voir si votre associé a ces mêmes ressemblances ou exact (sortant pour vous quand vous avez besoin du dos en haut par exemple) des qualités. Un autre point de garder à l'esprit vous tient conscient de ce que le comportement vous ne pas d'un ami. Vous ne devriez pas certainement accepter ces comportements de votre camarade de travail{*second*} (comme la position vous en haut tout le temps) non plus.Il n'est pas facile de mettre nos amis et amateurs{*amants*} dans la même comparaison parce que nous sommes amoureux de nos associés et serons donc plus patients avec eux que nous avec nos amis. Vous pouvez facilement vous aveugler en raison de l'amour vous vous sentez pour cette personne et non comprenez même quand lui ou elle ne sont pas un bon ami et un associé à vous. Comment pouvez-vous dire ? Une vraie amitié est essentiellement la même comme les vraies qualités qui définissent l'amour réel. La différence est, nous sommes amoureux et avons un désir profond de nos camarades de travail{*seconds*}, avec l'engagement et un but de construire un avenir et peut-être nous marier même et faire une famille ensemble. La liste ci-dessous vous aidera à voir si votre amateur{*amant*} est un ami à vous aussi.Vous pouvez parler et confier l'un à l'autre de quoi que ce soit.Votre associé est là pour vous quand vous devez parler à quelqu'un.La capacité de toujours compter l'un sur l'autre quand on est compté sur.L'ayant d'une épaule permanente pour pleurer sur quand nous en avons besoinAyant de beaucoup de choses dans communL'acceptation de l'un l'autre pour qui nous sommesÉcoute de nous et considérant nos avis importantsNe sentez pas coupable pour avoir plus haut des espérances de votre amateur{*amant*} non plus. Les gens ressemblent souvent ils devraient être plus cléments et comprenants quand il vient à leurs amateurs{*amants*}. Bien qu'il soit important de continuer une attitude comprenante (à éviter des malentendus et des arguments), vous ne devriez jamais laisser des choses faire toujours glisser ou composer des excuses pour les faux faits et gestes de votre associé. Vous devriez vous attendre mieux et pas sauf un tel comportement. Vous méritez mieux. Après tout, vous investissez la plupart de vos émotions et temps dans votre associé, si vous souvenez toujours que vous avez droit de recevoir le même.

Une fois un menteur toujours un menteur ?

Étant été couché à par quelqu'un vous aimez et avez estimé que vous pourriez avoir confiance est très douloureux et irritant. Vous aimez votre associé, donc vous vous trouvez pardonnant son/son mensonge la première fois, peut-être la deuxième et troisième fois aussi, avant que vous ne vous rendiez compte que vous êtes juste impliqués avec un menteur. Cependant, parce que vous vous sentez fortement pour cette personne, ce n'est pas facile pour vous de se détacher, bien que vous sachiez qu'est probablement ce qui est le meilleur pour vous. Vous vous accrochez sur, avec l'espoir que les choses changeront et il ne vous sera pas couché{*ne vous mentira pas*} désormais. Vous justifiez le séjour avec lui en vous disant qu'il est une bonne personne et profondément en bas vous savez qu'il vous aime - et que votre rapport est merveilleux et parfait - sauf quand il se trouve.Ce que vous devez vous demander quand cela arrive est : considérez-vous un merveilleux rapport celui dans lequel votre associé se trouve à vous ? Étant est-il été couché à par un menteur votre idée d'amour et le respect ? Quand vous êtes avec émotion impliqués avec quelqu'un, il n'est pas toujours facile de demander et répondre à ces questions logiques. Vous ferez souvent des excuses pour un menteur, juste vous faire vous sentir mieux du séjour avec quelqu'un qui ne vous respecte pas vraiment. Quand votre associé se trouve à vous, il est parce qu'il ne vous respecte pas et n'est pas aussi remis{*commis*} au rapport que vous voudriez croire. Bien sûr, il y a les sortes différentes de mensonge - petits et de grands, mais un mensonge sont toujours un mensonge, peu importe la taille ou la raison du mensonge. Regardez-le comme cela : si votre associé peut être couché{*mentir*} si facilement sur petites choses qui sont inutiles d'être couché de, donc vous pouvez être assez sûrs qu'il/elle vous sera couché{*vous mentira*} des choses plus grandes qui importeront vraiment et endommageront le rapport.Ce que vous devez vous demander quand cela arrive est : considérez-vous un merveilleux rapport celui dans lequel votre associé se trouve à vous ? Étant est-il été couché à par un menteur votre idée d'amour et le respect ? Quand vous êtes avec émotion impliqués avec quelqu'un, il n'est pas toujours facile de demander et répondre à ces questions logiques. Vous ferez souvent des excuses pour un menteur, juste vous faire vous sentir mieux du séjour avec quelqu'un qui ne vous respecte pas vraiment. Quand votre associé se trouve à vous, il est parce qu'il ne vous respecte pas et n'est pas aussi remis{*commis*} au rapport que vous voudriez croire. Bien sûr, il y a les sortes différentes de mensonge - petits et de grands, mais un mensonge sont toujours un mensonge, peu importe la taille ou la raison du mensonge. Regardez-le comme cela : si votre associé peut être couché{*mentir*} si facilement sur petites choses qui sont inutiles d'être couché de, donc vous pouvez être assez sûrs qu'il/elle vous sera couché{*vous mentira*} des choses plus grandes qui importeront vraiment et endommageront le rapport

Le Côté Drôle d'Énonciation - je Vous aime :

L'amour, le sentiment qui fait une personne nouvelle et le sens céleste. L'amour, un sentiment qui change la vie dans un moment. Nous n'avons pas entendu parler de l'amour à première vue ? Celui qui était heureux va chanceux le matin, obtient des regards{*apparences*} profonds et rêveurs dans les yeux au moment où la soirée arrive. Qu'est-ce qui est arrivé ? Il/elle est tombé amoureux pendant le jour et ne sait{*connaît*} pas maintenant que faire ?La toute première réponse de tels gens rêve. Ils ont des rêves pendant la nuit et plus souvent pendant le jour. Ils perdent toute l'attention à leur travail et le seul travail est parti pour eux doit penser à leur dernier bien-aimé. Commence alors la planification d'où se rencontrer{*se réunir*} de nouveau ? Comment découvrir cette belle personne de nouveau ? Par amis, ou que ? Dépend sur où l'amour a été trouvé à la première place. Après l'obtention de peu d'aperçus{*de lueurs*} plus, l'amour s'approfondit et les rêves deviennent plus fréquents. Mais en même temps, la crainte survient. Et si l'autre partie{*parti*} refuse de rendre la pareille ? Et si l'autre ne m'aime pas ? Donc les regards{*apparences*} sont prêtés l'attention immédiate. ' Et si l'autre partie{*parti*} est déjà amoureuse de quelqu'un ? Ce sera horrible. Laissez-moi pas pensent à cela du tout. Et s'il vient auquel, je déplacerai le ciel pour gagner mon amour. 'Et la question finale. Comment dis-je, je Vous aime ? Enverrai-je une lettre avec des fleurs ? Enverrai-je le message par un certain ami ? Me rencontrerai-je{*me réunirai-je*} et oserai dire à travers la table ? Comment de l'envoi d'une lettre anonyme disant qu'ainsi et est si follement amoureux de vous. Comment de vous ? Demanderai-je d'abord une date et arriverai pour devenir plus amical et inventer ensuite ma proposition ? On tient en pensée de tant d'alternatives et ensuite soudainement un jour, dit à brûle-pourpoint. S'il vous plaît je vous aime. Comment de vous ? Et la réponse est - je vous aime aussi puisque{*depuis que*} je vous ai vus pour la première fois, mais n'ai pas su{*connu*} comment dire ? Essayez d'envoyer un certain ecards avec les messages d'amour, probablement qui sera la meilleure sortie dans cette situation

le mote amour :

L’amour n’est pas un jeu. C’est un sentiment que l’on éprouve envers quelqu’un et avec qui on a envie de partager de bons moments. Peut-être que tu as déjà été amoureuse ou que tu as un amoureux en ce moment. As-tu déjà testé la compatibilité de vos deux prénoms pour savoir si vous êtes vraiment fait l’un pour l’autre ?
Si tu ne l’as pas encore fait, amuse toi avec notre test d’amour pour fille. Bien entendu, ce test d’amour est un jeu gratuit pour fille et ne donne des résultats qu’à titre indicatif pour s’amuser entre copines ou avec ton chéri ! Il ne faut pas confondre amour et amitié car on peut aussi avoir des amis garçons sans pour autant en faire des petits copains !

le mote amour :

L’amour n’est pas un jeu. C’est un sentiment que l’on éprouve envers quelqu’un et avec qui on a envie de partager de bons moments. Peut-être que tu as déjà été amoureuse ou que tu as un amoureux en ce moment. As-tu déjà testé la compatibilité de vos deux prénoms pour savoir si vous êtes vraiment fait l’un pour l’autre ?
Si tu ne l’as pas encore fait, amuse toi avec notre test d’amour pour fille. Bien entendu, ce test d’amour est un jeu gratuit pour fille et ne donne des résultats qu’à titre indicatif pour s’amuser entre copines ou avec ton chéri ! Il ne faut pas confondre amour et amitié car on peut aussi avoir des amis garçons sans pour autant en faire des petits copains !

le mote amour :

L’amour n’est pas un jeu. C’est un sentiment que l’on éprouve envers quelqu’un et avec qui on a envie de partager de bons moments. Peut-être que tu as déjà été amoureuse ou que tu as un amoureux en ce moment. As-tu déjà testé la compatibilité de vos deux prénoms pour savoir si vous êtes vraiment fait l’un pour l’autre ?
Si tu ne l’as pas encore fait, amuse toi avec notre test d’amour pour fille. Bien entendu, ce test d’amour est un jeu gratuit pour fille et ne donne des résultats qu’à titre indicatif pour s’amuser entre copines ou avec ton chéri ! Il ne faut pas confondre amour et amitié car on peut aussi avoir des amis garçons sans pour autant en faire des petits copains !

Texte de Karola :

Jeux de l'amour Dans une compagnie d'une banlieue mondaine travaillait un jeune homme, il était un grand patron et avait tout ce qu'il voulait et était très à lèse dans la vie. Toujours sûr de lui, il ne se gênait pas pour faire de l'argent sur les profits des autres. Un bon matin, où il partait pour aller faire un examen pour sa compagnie, et soudain en se retournant il vit une jeune fille et lui demandait les réponses de l'examen mais le professeur ayant tout vu déchirait le document de la fille et elle ne pouvait plus passer l'examen. Le garçon était très gêner de cette situation il voulait s'excusez mais la fille était déjà partie pas moyen de la retrouver alors déçu il retournait chez lui. Deux semaines plus tard la fille en question rencontre ce garçon et lui demanda s'il voulait aller prendre un café pour s'expliquer et lui demander un service, alors le garçon Emmanuel accepta avec plaisir pour se faire pardonner de la mauvaise situation de l'autre jour. Cindy voulait que le garçon habite avec elle pour 1 mois, une sorte de parie lui dit-elle ! Tout surpris il lui demande la raison et pourquoi une telle invitation. Cindy lui dit que s'il accepte jamais il ne regrettera ce mois extraordinaire de sa vie. Maintenant une semaine est passée et ils font connaissance, ils s'apprivoisent et Emmanuel commence à devenir amoureux de cette fille et se laisse fondre dans ses yeux doux. La première nuit fuit inoubliable des rapports très profonds. Mais, Cindy cache quelque chose à Emmanuel et lui essaie de le découvrir. Les locataires savent ce qui se passent et le garçon essaie d'en apprendre d'avantage mais rien à faire ils lui disent que quand le moment sera venue il le sera par Cindy. Une autre semaine est passée le garçon fait un cadeau a Cindy il lui achète un petit chien pour sa fête, elle est ravie et très surpris mais lui dit qu'elle ne peut le garder et lui se demande pourquoi, mais elle ne répond pas. Le locataire fait une petite soirée en l'honneur de la fête de Cindy alors ils se préparent et vont à leur soirée la fille est ravissante avec une robe rose et garnie de perles. Mais Emmanuel voit que Cindy n'est pas bien ce soir elle a mal à la tête et ne parle pas beaucoup elle souffre énormément. A la table, ils discutent et tout à coup la fille part en courant dans son appartement, tous surpris Sergio le locataire monte avec elle car il s'est quoi faire pour son mal. Mais Emmanuel les suit et découvre qu'elle est très malade et la se fâche se demandait mais qu'est ce que c'est ce mystère et va à la pharmacie qui est sous clé et brise d'un coup de poing pour ouvrir et voit tous les médicaments à prendre et devine que Cindy a le cancer. Ils appellent les ambulanciers car elle a perdu connaissance son mal recommence de plus en plus fort à l'hôpital ils leurs disent qui n'a plus rien à faire quelque mois ou de semaine à vivre. Emmanuel est très triste et révolté de ce qui se passe car il aime beaucoup Cindy et il sait que maintenant qui va la perdre pour toujours. Mais la vie nous fait parfois des cadeaux Cindy a décidé de partir chez ces parents car là-bas ou les parents de Cindy demeurent les hôpitaux ont des nouveaux traitements qui pourrait aider Cindy a retrouvé la santé. Mais, elle ne le dira pas à Emmanuel et va tout simplement le quitter pour combien de temps seulement vous les lecteurs vous trouverez la réponse dans votre cour.

Texte de Emy-In-Winnieland

Trois jours qu'il ne dort plus. Trois jours à tourner en rond du soir au matin, à vider des bouteilles, à remplir le cendrier. Il ne sait même pas pourquoi le sommeil le fuit. Il est fatigué, il a les traits tirés. Le lendemain, comme la veille, ses collègues se moqueront de lui, une fois de plus, en lui disant qu'il a encore trop fait la fête, qu'il "faut dormir la nuit". Comme d'habitude, il répondra à leurs sarcasmes d'un petit sourire, histoire de ne pas faire jaser plus encore. C'est comme ça qu'il procède avec eux, avec les gens en général. Il écoute, il encaisse dans rien dire, il sourit, mais au fond de lui-même, il est blessé, vexé par leurs réflexions, leurs traits d'humour qui n'ont rien ni de drôles, ni d'amusants.
Il s'ennuie. Il a choisi une route, par dépit, mais il sait que, s'il ne change pas de direction, il ne sera jamais heureux dans la vie qu'il mène. Par peur de la solitude, il a pris une femme, il vit avec elle, mais il ne l'aime plus, d'ailleurs, il ne l'a peut-être même jamais aimée. Elle voudrait des enfants. Lui aussi, mais pas avec elle. Il s'est toujours promis qu'il ferait ce cadeau à la femme qu'il aimerait, et qui partagerait son quotidien, pour la vie. Et une chose est sûre, ce n'est pas elle. Elle est gentille et douce, elle est attentionnée, mais toutes ces attentions finissent par le gêner, l'étouffer, il se sent coupable, il a parfois l'impression de profiter de cet amour qu'elle lui porte.
Elle est partie, depuis quelques jours, dans le sud de la France, pour le mariage de sa meilleure amie. Il n'avait pas envie de venir, alors il a menti, une fois de plus, en lui disant que son patron lui avait refusé les quelques jours de vacances demandés. Il n'a même pas posé ces jours. Il ne voulait pas venir, un point c'est tout.
Il est bien sans elle, enfin, mieux en tout cas. Il se sent plus léger, comme libéré de cette présence pesante et étouffante. Il ne veut pas qu'elle souffre. Quelquefois, il rêve qu'elle rencontre un homme et qu'elle le quitte. C'est tout ce dont il a envie, retrouver sa liberté, et même la solitude qu'il craignait tant lui fait envie. Mais il n'ose pas partir, lui, de lui-même. Il aimerait tant qu'elle le mette dehors, une bonne fois pour toutes. Il en serait tellement soulagé. Il n'a pas le courage de partir, pourtant il sait bien qu'il se tue petit à petit dans cette situation qu'il ne supporte plus.
Mais là, depuis qu'il l'a quittée sur le quai de la gare, il respire. Il n'est pas vraiment bien non plus, mais il est toujours mieux que d'habitude. Depuis qu'elle est partie, il retourne la situation dans tous les sens, descend des litres de soda et d'alcool, consume des paquets de cigarettes entiers à vitesse record. Il cherche une solution à tout cela. Elle est pourtant si simple, il le sait bien : la quitter et tout reprendre à zéro. Quitter son boulot aussi, pour ne plus subir tous les jours les mêmes invectives de la part de ses collègues.
Toutes les nuits, depuis trois jours, il refait sa vie, il imagine comment ça sera quand il l'aura enfin quittée, comment il aménagera son futur appartement, les soirées qu'il passera avec ses nouveaux collègues, les amis qu'il aura et qu'il pourra enfin inviter. Depuis trois jours, il ne rêve que de ça, et malgré la fatigue accumulée, il aurait presque l'air détendu ce soir. Il rêve qu'en descendant du train, elle lui dise qu'elle est tombée folle amoureuse du filleul de l'oncle du mari de sa meilleure amie, qu'elle fait ses valises et qu'elle part le rejoindre, à l'autre bout de la France ou du monde, ou de la ville d'ailleurs, peu importe, du moment qu'elle part. Il imagine sa voix prononcer "je te quitte", il en a le coeur qui bat et le sourire aux lèvres.
Trois jours et trois nuits qu'il rêve cette nouvelle vie. Ca y est, c'est décidé, quand elle rentre, il la quitte. Il n'en peut plus de cette vie. Quatrième nuit sans sommeil, elle rentre le lendemain. Il imagine dans sa tête toutes les réactions qu'elle pourrait avoir, toutes les réponses qu'il pourra alors lui donner. C'est sûr, il va la quitter, il n'en peut plus. Plus l'heure approche, plus son coeur bat, plus il est ému et pressé de retrouver enfin son indépendance, ça le fait vibrer rien que d'y penser.
Le train arrive bientôt, plus que quelques minutes et toutes ces phrases qu'il a préparées pourront enfin être prononcées.
19h52, le train entre en gare.Il la guette, il la voit de loin, il s'approche, plus que quelques pas et il pourra enfin lui dire tout ce qu'il a sur le coeur, il pourra enfin fait ce dont il rêve finalement depuis le premier jour, la quitter. Ils sont maintenant face à face.
Et la lâcheté fera que les mots qui sortiront de sa bouche seront encore, pour la millième fois, des mensonges : je t'aime chérie, tu m'as manqué...

Texte de Annyedouce

Amour et sentiments
Aimer peu parfois rendre fou, stupide, naïf, désarmé, perdu...
Aimer c'est aussi souffrir, parce que l'autre est absent, parce que l'autre ne nous aime pas, parce que l'autre ne nous aime plus...
Peut-on parler d'Amour quand celui-ci n'est pas réciproque ? Peut-on aimer tout seul ?
Peut-on Aimer vraiment sans connaître l'autre ?
Pourquoi continue-t-on d'aimer quand on sait que c'est inutile, que ça ne mène à rien, que ça ne nous rend tout simplement pas heureux d'aimer cette personne ?
Les sentiments ne se commandent pas, mais quand quelque chose nous fait mal une fois, en général on ne recommence pas, alors pourquoi l'amour n'obéit pas à cette règle ??
Bien sûr que rien ne peut être parfait, mais c'est souvent trop imparfait, trop médiocre.
On passe sa vie à courir après le bonheur, après le frisson, l'exaltation, le petit plus qui nous comblera.
Mais l'homme peut-il vraiment un jour être comblé ? Le principe veut qu'on en demande toujours plus...
C'est si facile d'Aimer, ça se fait naturellement, sans aucune question, ça vient tout seul, pourquoi ne peut-on pas "désaimer" avec la même facilité ??
Pourquoi faut-il toujours souffrir, pleurer, avoir l'impression d'être en train de basculer au fond d'un gouffre sans fin...???
Et aussi pourquoi certains ne connaissent jamais ces sentiments, ce chagrin, cette souffrance ?
Sommes nous nés avec une dose de chance, de tolérance à la douleur et au chagrin, est-ce que les cartes sont tirées avant même qu'on pousse notre premier cri ?
Ou au contraire est-on maître de son destin et de sa vie ? Nos seuls et propres choix suffisent-ils à faire de notre vie ce qu'elle est ? Il y à forcément une part de chance et de Hasard, on ne naît pas tous avec les mêmes avantages...
Trop de questions qui restent sans réponses...
Toute une vie ne suffit pas à comprendre ce que sont justement la vie et le pourquoi du comportement humain...
On à beau rencontrer différentes personnes tout au long d'une vie, on part toujours avec des questions.
J'ai parfois l'impression de me dire "ça y est, cette fois je sais" et finalement, je me rends compte "qu'en fait on ne sait jamais"...
Tout est trop aléatoire, tout dépend trop de tout.
On se fait à soi-même des promesses, on se lance des défis, qui pour beaucoup sont réalisables, et pourtant on échoue...
Par peur, par faiblesse ?
Les cartes sont là, entre nos mains, et on ne les joue pas, pourquoi ???
Pourquoi persiste t-on à y croire alors que l'on sait que c'est sans espoir ?
Y à t-il un but, une raison aux réactions humaines ?
Ceux qui ont le plus souffert seront-ils "récompensés" un jour ??
Comment peut-on être aussi nombreux et nombreuses à nous complaire dans notre malheur ?Si on y reste si on persiste c'est bien que l'on s'y plait non ???
Est-ce que l'on se dit "il vaut mieux ça que rien, même si rien serait mieux" ?
Je ne comprend pas et pire je ne nous comprend pas, vous, moi et tous les autres.
Qu'on nous ôte ce qui nous fait mal, comme un parasite tuons le, trouvons un vaccin anti-chagrin !
Bien sûr que l'Amour est beau merveilleux magnifique et magique, mais vaut-il réellement le prix qu'on le paye ??
Une dose d'amour est-elle égale à une dose de souffrance ?
Pourquoi certains s'en sortent si bien, sans questions, sans doutes et sans peurs ??
Encore une fois le monde est inégal, face à la vie, mais face à l'Amour aussi !
Je ne veux plus aimer parce que je ne veux plus souffrir, c'est ma pensée, mon idée fixe, j'ai passé mon seuil de tolérance à la douleur au chagrin et aux questions qui me font perdre pied.
On met tellement de temps à atteindre un sommet et si peu à retomber sur terre...
Chacun croit en son histoire, comme si elle allait durer toute la vie et au delà.
Combien se voile la face ? Combien croient que le bonheur est entre leurs mains alors qu'il s'est échappé depuis longtemps ? Combien comblent les vides dans leurs vies par du vent et des illusions ?
Est-ce que le bonheur est si rare qu'on ne peut le garder, qu'il faut le partager ?Est-ce que tout le monde ne peut pas en avoir un morceau qu'il garderait pour toujours, le bonheur est si rare que cela est impossible ???
Je voudrais croire, mais plus j'ouvre les yeux, plus je perds espoir.
Tout est éphémère, rien ne dure éternellement, tout file à une vitesse incontrôlable.
Même si on veut cultiver son bonheur, en prendre soin, il s'échappe un jour et nous file entre les doigts.
Est-ce que ça vaut la peine ???
Aimer quelqu'un sachant qu'un jour on va le perdre, qu'il y à mille et une façon dont ça peut arriver, est-ce que vraiment ça vaut le coup ?
Peu nombreux sont ceux qui sont heureux de leur vie en général, on chercher toujours à avoir d'avantage.
Et une fois de plus nos propres désirs nous amènent à notre perte...
Peut-on changer sa nature ? Est-ce que passé un certain âge c'est trop tard ?
Pourquoi certains ont si peu de volonté ?
La colère que l'on peut éprouver parfois se dissipe si vite quand elle est dirigée vers l'être aimée, pourquoi n'en n'est-il pas pareil de l'Amour ? Pourquoi est-ce qu'il ne s'efface pas quand on le décide ?
Une leçon devrait suffire ! Pourquoi s'en imposer d'autres encore et encore ?
Pourquoi tout ça, quel est le but ?
Pourquoi je ne trouve pas les réponses et la solution...???

Texte de Giuliametal

The perfect girl
Un matin vous vous réveillez avec cette sensation de n'avoir rien fait de votre vie, que tout chose n'a été que néant et avide.Tout a été consacré à votre profit et jamais aux autres, votre âme n'est plus qu'un simple morceau d'orgueil et égocentrisme...Il est tant de changer et de voir la vie de façon plus sereine et partager!C'est ce qui se passa pour cet homme. Il n'a jamais rendu un bien pour une personne, il voyait sa vie qu'autour de lui et ne préoccupait jamais de ce que pouvait avoir besoin le monde.Un matin au réveil, il s'est dit que cela devait changer qu'il avait un quelque chose à faire partager, un don qu'on pourrait exploiter!Il se mit en quête d'être utile pour l'humanité et essaya de trouver l'idée révolutionnaire....Et il trouva, son imagination était là, tant d'année à rester cloîtrer dans son avidité, aujourd'hui sa vie allait pouvoir donner un sens!Malgré les années qu'il avait plus de 80 ans, il avait retrouvé sa force d'avant et le courage de commencer son ouvre, créer une femme parfaite!Une femme dont le visage serait radieuse, une couleur profonde se dégagerait de ses yeux. Une peau d'une douceur veloutée dont le teint serait aussi blanche que la neige. Des lèvres rouges charnues qui reflèteront un sourire angélique.Un corps d'une beauté extrême, elle sera n'y trop mince n'y trop enrobé, une perfection!La femme parfaite sera doté d'une capacité extraordinaire, elle aura le courage, la patience, la douceur, autant de qualité possible qui existe dans ce monde.Mais bien sûr les défauts n'en feront pas parti!!Elle pourra connaître tous les sentiments qui existent, la seule chose qu'elle ne pourra pas vivre c'est d'être maman mais son créateur lui a donné tellement de chose qu'elle oubliera ce détail!Le vieillard se mit à la fabrication de la Femme parfaite, il mit des années pour la mettre au point, pour qu'aucun détail ne lui échappe, qu'elle soit vraiment la femme la plus belle et la plus intelligente!Sa création était pratiquement terminé mais la force qu'il avait donné au départ diminuait de plus en plus, l'homme devenait vieux.Il voulut la prendre en photo pour garder une image en souvenir quand il partira de ce monde. Il se disait que peut être un jour un homme terminera sa création et il pourra être enfin libéré de son péché qui lui a coûté pendant plusieurs années.Mais voilà un matin, l'homme ne se réveilla plus, mais on pouvait voir sur son visage de grand - père un sourire, la veille il avait regardé sa créature, elle n'était pas terminée mais elle était belle pour lui!Elle avait ce regard troublant et envoûtant, des lèvres douces et charnues mais elles n'étaient pas terminés, quelques détails manquaient pour que cette créature parfaite voye le jour!C'est pour cette raison que je vous ai raconté cette histoire et mis sa photo, le créateur aurait aimé qu'une personne puisse terminer son ouvre qui lui est cher et qui lui a consacré une partie de sa vie!« Je dédie cette histoire à ce vieillard qui malgré ses années perdues dans l'ignorance a donné un peu de lui même dans son ouvre inachevée! »

Texte de Tshitsha

Différence ressemblante
Je ne suis pas ton genre mais, tu peux faire en sorte que jele devienne ! par amour.
***
Ta parole
Je t'aime,oui ! mais j'aime aussi tous ce que tu dis et parfolie d'amour, je te contredis,je te le dis j'aime tous ce quetu dis.
***
La confiance hypocrite
Toute fille,toute femme,possède un petit ,un tout petit caractère qui montre une hypocrisie bien cachée en elle.
***
Sauf erreur !
Comment puis -je par un seul mot prendre ton coeur ?Comment saurais-je par un seul mot avoir toute ta confiance ?Comment arriverai-je par un seul mot pour moi seul ?la,je suis en coeur et je suis collé a mon fauteuil seul(e)je te regarde du coin de l'oeil !Comment pourrai-je briser ton coeur ?Comment provoquerai-je ton malheur ?Comment te ferai-je de la peine ? toi qui me vois t'aimer sanste donner un peu de peine !
***
Amour un jour, haine toujours !
Les moments de gémissement et de soupirs,que j'ai connu,elle était dans ma vision enpermanence. Je n'ai pas eu suffisance d'elle,mais insuffisance par dessus tout soucis,l'insomnie continuelle et c'est a causede cette torture ou devrai-je le mettre au pluriel que jerecherche paix et refuge loin de ceux qui me jugent

Texte de Poncette

Comment mettre sur quelque ligne ce que je n'ai jamais pu te dire:Tu as vécu tant de souffrance au nom de l'amour et aujourd'hui je t'écris en ces quelque ligne pour te dire combien je t'aime pour toute cet patiences que tu as eu en mon égard!pour toute les méchanceté que j'ai fait preuve en ton égard!toute ces paroles blessante que tu as du entendre de ma bouche. Dieu a voulu que dans toute ta vie tu n'est que moi comme enfant on ne peut pas plus punir une femme que de la façon dont toi tu l'as été(la perte de plusieurs de tes bébés)Aujourd'hui je ne peux pas t'en vouloir d'avoir fait de ton mieux pour me faire grandir avec les principe au quelle tu crois.Par cet lettre maman je te dis je t'aime et crois bien que ci je connaisse des mots plus fort je l'écrirais... Aujourd'hui je suis une grande fille,et j'ai moi aussi fondé ma famille,rassure toi j'ai un mari qui m'aime vraiment ce d'on tu as toujours souhaité pour moi il m'as fait 3 beaux enfants que tu adores et je ne sais comment te remercie de m'avoir permis d'en arrivé ou je suis; Pour en finir jamais tu ne liras cet lettre mais j'espère que ce qui l'a liront se diront que tu es aimé par ta fille car ce a ça seulement que je pense quand je suis auprès de toi:

***********************************
Un matin de mes 13 ans je t'ai aperçu en bas de chez moi, et a cet instant j'ai su!J'ai su que ça sera toi. Le frère que j'ai temps voulu et que mes parents ne m'on jamais donnél'ami que j'ai temps recherché pendant les recréations, le papa que je n'ai pas eu le temps de connaître car la vie me l'a arraché trop tôt! oui je vois tout cela en toi... l'homme de ma vie13 ans plus tard nous voilà toujours ensemble malgré les épreuve de la vie tu as su m'apporté tout ce que je recherché chez un homme. Je t'aime d'un amour inimaginable et que les scientifique ne serais trouvé les réponse tu m'as fait 3 merveilleux petit garçons qui heureusement te ressemble et a vous quatre je me sens plus que protéger a vos cotè et pour tout cela je te dit merci ,merci pour ce que tu as fait de ma vie
Je t'aime mon amour (( Poncette pour Benoît))

Texte de Princesse3

Mon bébé de tendresse, toi Éric
Une pensée pour ton coeur, dans la feuillée incertaine, j'ai brodé sur mon âme ta tendresse, ton coeur, et ta gentillesse.ton andalouse, ta grenouille t'aime tellement, mes nuages survolent ton esprit pour le tenir de courage d'amour et de mon être je reste à tes côtés en silence pour te dire que je t'aime en silence dans les abîmes de flammes en détresses a ma sensualité de femme... Je t'aime dans les roses qui fleurissent d'amour chaque moment de leur éclosions et de leur morts sans bruit qui enfouis chaque petits bouts de toi en moi ta grenouille qui t'aime tendrement mon bébé tendresse toi mon coeur EricDu27 je t'aime comme ça ta princesse
je t'aime Mamour de moi ta princesse, celle qui te donne son coeur

Une déclaration d’amour « bidonnée » de Robert Ménard et Cie :

Le procureur Robert Ménard, flanqué de Pierre Veilletet, siégeant au tribunal de la revue Médias, a prononcé à la fois la plaidoirie et la sentence : « Ils détestent la presse ». Tel est le titre de l’article paru dans le n°16 de ce trimestriel, daté du printemps 2008.
« Ils » ? Mais qui donc ? « Ceux que l’on n’appelle presque plus les gauchistes ». Mais encore ? Indifféremment, des groupes de jeunes qui se livrent à des agressions violentes de journalistes, des étudiants et des grévistes de la SNCF qui entendent protéger leur lutte contre l’ingérence de journalistes qui travaillent pour des médias qui leurs sont hostiles... et Acrimed. Que font-ils ? Ils « exècrent les grands médias ». Ce qui leur vaut une déclaration d’amour…
Médias caresse la « complexité », intensément
Médias avait déjà déclaré sa flamme à quelques-uns de ces « ils » qui, quels qu’ils soient et quelles que soient leur raisons, contestent les médias. Dans un éditorial lénifiant à souhait – « Lire entre les lignes » -, le premier numéro de la nouvelle série de Médias annonçait, en 2004, que le monde se divise en deux : ceux qui aiment les médias (parce qu’ils les connaissent) et ceux qui les détestent (parce qu’ils ne les connaissent pas).
Et voici comment Emmanuel Lemieux présentait alors dans Le Nouvel Economiste [1] cette publication officiellement officieuse de Reporters sans frontières, sous le titre « "Médias", le retour ». En guise de préambule : « Y a-t-il un marché pour un média sur les médias ? Avec la troisième tentative de publication de la revue Médias, l’idée fait son chemin. Mais, pour le moment, seuls les pamphlets et les journaux de critique radicale des médias sortent leur épingle du jeu. » Et de citer en les commentant les propos du directeur de la revue, Serge Guérin :
« Dans son premier éditorial, la revue entend ne pas sombrer "dans la dénonciation tous azimuts" ni "entamer l’air du tous pourris, mais aider à mieux comprendre le fonctionnement des entreprises de presse et de communication" . Serge Guérin martèle : "C’est un fait, je suis vigoureusement antibourdieusien pour ce qui concerne la critique des médias." » Commentaire de Lemieux : « Ce qui fait recette actuellement, c’est la critique antimédias, et une certaine pensée excommunicatrice. Depuis le best-seller de Serge Halimi, Les Nouveaux chiens de garde, stipendiant [sic] les nouvelles élites médiatiques, et dont les ventes ont assis la petite collection Liber-Le Seuil de feu Pierre Bourdieu, la critique antimédias a pignon sur rue, et sait être succès de librairie. Toute une planète violemment antimédiatique, dont le gros des troupes s’est constitué dans la mouvance altermondialiste, a trouvé son lectorat et son marché. Du revival de l’intellectuel Noam Chomsky au succès de librairie Les Petits soldats de l’info [re-sic], en passant par le documentaire de Pierre Carles, Pas vu pas pris (et par ailleurs inspirateur, avec Serge Halimi, d’un fanzine ordurier résolument antimédias, PLPL), à l’Observatoire des médias lancé par Le Monde Diplomatique et l’Acrimed (pour action-critique-médias), la critique antimédias est devenue une véritable niche. "Nous voulons répondre à ce poujadisme-là, nous sommes quand même et de plus en plus dans une culture de la complexité ! Or, la critique altermondialiste et bourdieusienne des médias n’offre qu’une vision néomarxiste qui ne rend jamais compte de la nature et de la réalité du travail médiatique", souligne Robert Ménard, cosignataire d’un article intitulé Les altermondialistes contre l’info. »
L’Univers étant ainsi partagé entre « anti-médias » et « pro-médias », la critique compétente et hygiénique de Médias s’était donc déployée à partir d’un « manifeste » rédigé – déjà – par Robert Ménard et Pierre Veilletet - et publié dans le premier numéro sous le titre « La guérilla des altermondialistes contre l’info ». Un monument de « culture de la complexité » qui valut à Ménard des éloges du Monde [2].
Moins de quatre ans plus tard, donc, Robert Ménard et Pierre Veilletet (avec la collaboration de Baptiste Charbonnel) récidivent et découvrent ceci : « Confirmation, à l’automne dernier, dans les manifs, sur les campus des facs ou au cœur des banlieues : ceux que l’on n’appelle presque plus les gauchistes exècrent les grands médias. Pourquoi ? »
« Ils détestent la presse. » Insistante, comme un leitmotiv, la troisième personne du pluriel, tout au long de l’article pamphlétaire, amalgame (à grand renfort de caricatures), un groupe indéfini et aux limites incertaines : « Ils détestent la presse et les journalistes » ; « Ils ont leurs livres de chevet - signés Bourdieu ou Halimi » ; « leurs grands prêtres – Pierre Carles ou Daniel Mermet » ; « leurs journaux de référence » ; « Seuls Le Monde diplomatique et Charlie-Hebdo (déjà un peu moins) trouvent grâce à leurs yeux. »…
S’ils sont étudiants en lutte, salariés de la SNCF en grève ou jeunes des quartiers populaires, ils n’existent, pour les enquêteurs de Médias qu’à travers les témoignages (soigneusement filtrés) de journalistes qui ont dû subir, indifféremment, des violences inadmissibles et des critiques légitimes, aussi virulentes qu’elle soient... Quand des arguments sont rapportés, ils sont réécrits, tronqués, falsifiés.
Des amalgames saugrenus, des articles pillés ou plagiés, des motifs effacés et des protagonistes évincés : tels sont les ingrédients d’une tambouille délayée sur quatre pages. De quoi fabriquer – sans haine, évidemment… - une prétendue détestation des médias qui dispense d’examiner sur quoi repose leur contestation. De quoi réserver la critique des médias à « l’élite » du journalisme et à ceux qui la servent, à l’exclusion de toute autre. Bref, la remise en question du rôle des journalistes dans le traitement des mobilisations sociales – puisque c’est surtout de cela qu’il s’agit ici – est synonyme d’atteinte à la liberté de la presse. Et qui mieux que Robert Ménard lui-même peut défendre cette liberté ?
Ainsi, « ils détestent la presse et les journalistes. Et ne ratent pas une occasion de le dire, de le leur dire. Usant de l’insulte, voire de la menace pour les plus enflammés. Les derniers mois en ont fourni de multiples exemples. Sur les campus en grève. Dans les dépôts SNCF en pleine « mobilisation ». Au milieu des banlieues en flammes. On ne compte plus les journalistes, dans le meilleur des cas, mis à l’index. Menacés, roués de coups quand les circonstances s’y prêtaient. »
Médias adore les enquêtes, passionnément
Et les auteurs de l’article commencent par le pire : des actes de violence inadmissibles, commis par des groupes de jeunes dans les quartiers populaires. L’enquête de nos trois gardiens de l’ordre les a conduits … jusque dans les colonnes du Monde, dont ils ont méticuleusement pillé deux articles.
Premier article pillé, sans le dire : un article de Daniel Psenny, publié dans Le Monde du 3 décembre 2007 [3]. Mais, alors que les témoignages cités par Psenny tentaient pour la plupart, sinon de justifier, du moins de comprendre la contestation à l’égard des médias [4], les croisés de Médias se bornent à dresser une liste. Et nos copieurs – voir le « test comparatif » en annexe - rappellent les agressions physiques et les vols de matériels subis par des journalistes de France 3, de LaTélélibre, des « envoyés du Parisien ou du Monde ». Première des agressions mentionnées : « Dès le 25 novembre, Luc Bronner, reporter au Monde, se fait agresser par un groupe de jeunes à Villiers-le-Bel. Lorsqu’il annonce qu’il est journaliste, on lui conseille fermement de « dégager » avant de le frapper. » Or Luc Bonner [5] à l’occasion d’un chat publié par le monde.fr le 24 octobre 2006 (et mis à jour le 30 janvier 2007) - « Qui sont les révoltés des banlieues ? » - déclarait : « J’y suis resté une semaine, avec l’idée de parler des "invisibles", c’est-à-dire ceux qu’on ne voit habituellement pas dans les médias. J’en suis sorti frappé par le décalage entre le traitement que nous, médias, avons de la banlieue et la réalité. On parle en effet beaucoup plus de quelques dizaines de jeunes délinquants que des milliers d’habitants. […] Je pense que notre travail n’est pas bien perçu par les jeunes des cités. Beaucoup estiment que les médias manipulent leur discours et caricaturent la jeunesse des banlieues. Je pense qu’ils ont en grande partie raison. »
Qu’importe à nos reporters sans autres frontières que celles du périphérique. Tout à leur labeur, ils poursuivent et s’inspirent – sans le mentionner - d’un article d’Ariane Chemin et Mustapha Kessous [6]. Cet article décrit les activités de « Respect sécurité » - une société commerciale qui protège les reporters - et mentionne l’existence de « fixeurs », « ces guides-interprètes pour reporters de guerre ». Qu’importe à nos reporters sans autres sources que les articles qu’ils pillent - voir également notre « test comparatif » en annexe -, si ces informations sur les « fixeurs » ont été depuis très controversées, notamment par « Arrêt sur images » [7].
Reste une question : quel est le rapport entre ces violences et la contestation des médias par des étudiants en lutte ? Le voici, avec cette transition toute en nuances : « Dans les facs, on n’en est pas là. Ou du moins pas encore. Mais quand même ». L’enquête de nos trois gardiens de l’ordre les a conduits, une nouvelle fois… jusque dans les colonnes du Monde qui avait lui-même rédigé un pot-pourri de toutes les manifestations de défiance d’étudiants mobilisés : un pot pourri que nous avions si longuement cité et analysé qu’il est inutile d’y revenir ici [8].
Des journalistes ont été pris à parti par des étudiants ? Les lecteurs de Médias ne sauront rien de leurs motifs. En revanche, ils apprendront ceci : « De qui proviennent ces accusations, s’interroge une reporter de France Info, citée dans le même papier : “Surtout d’étudiants militant au syndicat Sud qui reprochent aux médias en général et à France info en particulier de relayer le discours gouvernemental.” » L’origine des accusations (sur lesquelles il vaut mieux ne pas s’attarder…) vaut disqualification de leur contenu.
« La défiance est partout », constatent amèrement nos ardents défenseurs d’une liberté d’expression qu’ils réservent aux seuls journalistes. Quant à se prononcer sur les fondements de cette défiance, ce sera pour plus tard. « La défiance est partout et seuls les médias alternatifs sont supposés rendre correctement compte des revendications. » Nos reporters, eux, ne sont pas « supposés » vérifier que les médias contestés rendent « correctement compte des revendications. »
« Pour preuve, poursuivent-ils, ces consignes relevées à la même époque sur Indymedia Lille, […] qui enjoignent "à tous les acteurs du mouvement de se méfier comme de la peste des journalistes". On peut encore lire : "En règle générale, je vous conseille de ne pas [leur] répondre. [Le journaliste] a tendance à se sentir supérieur et s’il peut railler un propos léger, il le fera sans hésitation ! Les rédacteurs de La Brique (« canard local d’info et d’enquête ») sont présents (et certainement les autres médias alternatifs), c’est à eux que vous devez faire confiance..." »
L’article, consultable sur le site d’Indymedia Lille porte pour titre « Méfiez-vous des journalistes ! ». Contrairement à ce que laissent supposer Ménard et Cie, il émane d’une seule personne. Pas d’injonction, mais une demande : « Je demande à tous les acteurs du mouvement (et surtout aux plus jeunes) de se méfier comme de la peste des journalistes. » Pas une consigne, mais un conseil : « En règle générale, je vous conseille… » Quel conseil ? Non pas simplement de ne pas répondre aux journalistes, mais ceci : « En règle générale, je vous conseille de ne pas répondre aux journalistes ou alors sous certaines conditions très strictes qu’il s’efforcera de respecter. N’offrez jamais de manichéisme, de simplisme, ou d’explications hasardeuses au journaliste. Lui ne cherche pas à défendre la LRU, mais de son statut de journaliste, il a tendance à se sentir supérieur et s’il peut railler un propos léger, il le fera sans hésitation ! Les rédacteurs de La Brique sont présents (et certainement les autres médias alternatifs), c’est à eux que vous devez faire confiance... »
D’un texte individuel qu’ils ont cisaillé sans signaler la coupe, nos tronçonneurs ont fait un manifeste collectif qui invite à boycotter, purement et simplement, les journalistes.
Après les étudiants, les grévistes de la SNCF : « Durant le conflit social de novembre dernier sur les régimes spéciaux, même suspicion, même hostilité envers les médias. »
Cette fois, nos chasseurs d’indices ont quitté les colonnes du Monde pour rendre visite à celles de Rue89. Là ils ont découvert (mais sans préciser leur source, naturellement), le témoignage indigné d’un journaliste de France 3 Metz - Jean-Christophe Pinek - publié sous le titre « A l’AG des cheminots de Metz : "Les journalistes, foutez le camp !" ». Un témoignage qu’ils résument à leur façon : « "Les journalistes, dehors ! Vous n’avez rien à foutre ici. Vous ne filmerez rien du tout. Allez, foutez le camp !", hurle un leader de la CGT locale. L’invective est bientôt reprise par l’ensemble des 400 participants. » Et nos trois enquêteurs de s’interroger : « La raison de cette animosité ? » Ce n’est pas de Ménard et Cie qu’il faut attendre une réponse. Il leur suffit, pour expliquer cette « animosité », de rapporter des propos non sourcés qui ne figurent pas dans le témoignage du journaliste de France 3 : « "Le journaliste est un représentant de l’ordre dominant et pense que les faits qui contredisent ses affirmations sont de l’idéologie". Ils "truquent leurs reportages", sont "vendus au pouvoir". Bref, des salauds. » Qui parle ? Que signifient et que valent les propos cités ? Peu importe à Ménard et Cie : il leur suffit de les réduire à des manifestations de haine, sans cause ni raison.
Suit alors, en guise de complément d’enquête, une nouvelle réécriture d’un extrait (non sourcé, naturellement) de l’article du Monde déjà cité. En version originale : « Reporter à France-Info, Célia Quilleret reconnaît que, lorsqu’elle circule aux abords des manifestations dans une voiture portant le logo de la station publique, elle se fait fréquemment "alpaguer" par des étudiants qui lui crient "France-Info, c’est radio Sarko". Elle précise que ces accusations proviennent "surtout d’étudiants militant au syndicat SUD, qui reprochent aux médias en général et à France-Info en particulier de relayer le discours gouvernemental". Journaliste au service société de la station, elle dit avoir essuyé les mêmes reproches de la part de cheminots adhérant au même syndicat. » En version Médias : « Célia Quilleret, reporter à France Info, en est convaincue : qu’il s’agisse d’étudiants ou de cheminots militant au syndicat Sud, pour eux "France Info, c’est radio Sarko." Quand on sait que la droite pense à peu près l’inverse ! » « Des cris » - en fait des slogans - qui fusent dans le contexte précis d’une mobilisation désavouée par la plupart des médias sont transformés en analyse et, celle-ci est réfutée par un point d’exclamation…
Médias aime Acrimed, tendrement
Les enquêteurs de Médias sont remontés aux « sources » de ces contestations : « Cette mise au ban de « la presse » s’abreuve aux mêmes sources, même si ses propagandistes ne recourent pas à des méthodes identiques. C’est d’abord du côté d’Internet qu’il faut aller chercher ses “théoriciens”. » Pour justifier ce méprisable mépris, rien de tel que de méprisables procédés.
« Des sites comme Acrimed, poursuivent nos petits trafiquants, demandent de « relativiser tous ces cris d’orfraie », allusion ironique aux craintes exprimées par la plupart des médias face au climat hostile constaté lors de la tenue de la coordination nationale étudiante. » Nous n’avions rien « demandé », mais simplement constaté : « Le 20 novembre, l’AFP publie un article de Juliette Collen qui permet de relativiser tous ces cris d’orfraie. » Cet article, évidemment, ne figure pas dans le butin de nos copilleurs. Et il suffit de se reporter à notre article – « Médias contestables, médias contestés par des étudiants en lutte » - pour voir que les cris d’orfraie en question n’ont rien à voir avec de simples « craintes » : ce sont de violents réquisitoires que Médias reprend à son compte en hurlant encore plus fort….
… Et en prétendant nous citer : « La grande presse serait atteinte de “paranoïa” » Evidemment, nous n’avons rien dit de tel, mais seulement retourné à l’envoyeur, une feinte interrogation d’un article de Libération, qui se demandait ainsi à quoi attribuer la contestation étudiante du rôle des journalistes « Paranoïa ? Posture radicale ? ». À quoi nous avions répliqué, après avoir rapporté les virulentes critiques parus dans la presse : « Vous avez dit “paranoïa” ? », en abandonnant ce vocabulaire psychiatrique qui n’est pas le nôtre à ses utilisateurs habituels qui, s’ils écrivent dans la grande presse, ne sont pas « la grande presse ».
De tous les arguments qui justifiaient ce retour à l’envoyeur, nos « sourciers » ne retiennent que ceci : « Pour preuve [de la paranoïa que nous aurions attribuée à la grande presse] : finalement “sa présence [a] été autorisée par un vote à main levée […] L’opposition aux médias dominants a principalement revêtu la forme d’actions symboliques, plus on moins humoristiques. ” » « Pour preuve » - nos enquêteurs adorent cette expression qui signale en général un indice trafiqué – pour preuve, donc, de leur talent, ils accrochent l’interrogation ironique non aux pages qu’elle conclut, mais à la phrase qui précède et qui évoque non la présence de la presse en général, mais celle d’un journaliste précis dans une circonstance précise [9]. Et « pour preuve » de leur dextérité, ils font suivre cette phrase isolée d’une autre qui, opportunément séparée par une coupe « […] », figure près de 10 paragraphes plus loin !
Du grand art sans frontières ? En vérité, de l’art de coller des gommettes en maternelle…
La suite est du même acabit : « Et pourquoi se plaindre puisque – Attention, ils vont citer - “la contestation des médias […] ne vise pas les journalistes en tant qu’individus (même si - et c’est compréhensible - ils peuvent la considérer comme une agression personnelle), mais leur fonction. Une fonction qu’ils remplissent, parfois sans le vouloir ou s’en rendre vraiment compte, au service de médias hostiles au mouvement social dans son ensemble.” » Et pour réduire cet argument à néant, nos reporters d’ajouter en picorant dans l’article une autre citation tronquée : « On l’aura compris les journalistes ne sont “que les rouages d’un système qui les dépasse” ». Et hop, encore, un coup de ciseau : nous avions écrit, dans un contexte précis, que les journalistes « ne sont, pour une large part , que les rouages d’un système qui les dépasse ». Fallait-il préciser qu’ils ne sont pas les seuls ?
Nous prêtant généreusement leur propre stupidité, nos éclaireurs ajoutent que, selon nous, ceux que nous traiterions en simples « rouages », seraient « Incapables, d’ailleurs, de penser leur propre rôle dans la société puisque […] – attention, ils vont citer !- “aucun article dans la presse dominante consacré à la question des rapports entre médias et mobilisations sociales n’a proposé de véritable retour sur la responsabilité sociale des journalistes.” ». Pas de chance : la citation présentée « pour preuve » du procès en incapacité générale que nous aurions intenté, porte sur l’absence d’article (et non de réflexion), non sur le rôle des journalistes dans la société en général, mais sur rôle des médias dans les mobilisations sociales. Pas de chance : sur l’absence précise que nous évoquions, notre affirmation est parfaitement exacte [10]. Et ce n’est pas le sermon de Médias qui comblera ce vide…
Médias s’enflamme pour soi-même, amoureusement
… Comme le confirme la suite, puisque le moment d’une modeste concession est arrivé : « Reconnaissons-le : si les médias les plus importants – et spécialement les chaînes de télévision se voient ainsi mis en cause par d’actives minorités, c’est qu’ils prêtent le flanc à la critique. On se doit d’admettre que leur réquisitoire à l’encontre des médias ne sonne pas toujours faux. Les procès en sensationnalisme, en superficialité, en suivisme, en connivence avec les pouvoirs en place ne relèvent pas que du ressentiment. » Entendez : ces procès relèvent surtout du ressentiment… Et quoi encore ? « Certes, on n’en est plus aux liens incestueux de la presse avec le Comité des forges, mais de trop nombreux conflits d’intérêts [nous aurions plutôt parlé de « convergences d’intérêts », mais la théorie sans frontières nous échappe !]- entre propriétaires de médias et État subsistent en France. Ce qui est rarissime chez nos voisins européens. Les journalistes [Tous vraiment ? Lesquels ?] sont d’ailleurs les premiers à les dénoncer. Des dizaines de livres parus ces derniers temps en attestent. » Et c’est tout. Où est passée la question du rôle des médias dans les mobilisations sociales ? Disparue !
Mais quelle est donc la nature de ce réquisitoire qui « ne sonne pas toujours faux » ? « L’acte d’accusation repose principalement sur une vision « complotiste » du monde et de son fonctionnement, qui fait florès au sein de la gauche radicale. » Quel acte d’accusation ? Peu importe : tout est dans tout. En quoi consiste cette vision « complotiste » ? Peu importe : tout est dans tout. De qui émane-t-elle ? Il suffit de mentionner deux sources qui n’ont rigoureusement aucun rapport entre elles : « Ainsi, dans les rangs des ultras de la mouvance altermondialiste, trouve-t-on nombre d’exégètes de Noam Chomski [sic, Chomsky s’écrit avec un « y »] ou, pire, de Thierry Meyssan. » Et en guise d’exégèse de ces prétendus « exégètes », nos fins limiers présentent comme autant de preuves tous les indices qu’ils ont eux-mêmes fabriqués : « Erreur, malchance, contingence, naïveté : ces notions sont étrangères aux contempteurs des médias. Un journaliste de base est, au mieux, un pauvre bougre manipulé par une hiérarchie, elle-même aux ordres des patrons, lesquels prennent leurs directives auprès du CAC 40. »
Mais à force de répondre non à des arguments, mais à leurs caricatures, nos médiocres faussaires qui se prennent sans doute pour de talentueux polémistes finissent par se noyer dans la boue qu’ils répandent : « Dans ce remake de la lutte des classes, le pigiste, forcément corvéable à merci, reprend le rôle du prolétaire aliéné. Imaginer, ne serait-ce qu’imaginer, qu’il puisse exister des carrières ratées par manque de talent, de travail ou de sérieux fait de vous un kapo des multinationales de la communication. » Qui a pu prétendre cela ? Quant à « imaginer, ne serait-ce qu’imaginer » qu’il existe 20% de pigistes et précaires parmi ceux qui bénéficient de la carte de presse (sans compter tous ceux qui n’en bénéficient pas) - des « carrières ratées par manque de talent » ? - cela ferait de vous un détestable critique des médias, pour ne pas dire un syndicaliste « extrémiste ». Voire même un journaliste syndiqué.
Quand vient le retour de « ils » : ce solennel pronom qui englobe, sans avoir à demander leur avis ni même en tenir compte, ces loubards, ces étudiants, ces grévistes, ces altermondialistes, ces syndicalistes et ces pseudo-théoriciens qui poussent des cris de haine dans les oreilles de Ménard et Veilletet : « Ils ont leurs livres de chevet - signés Bourdieu ou Halimi -, leurs grands prêtres – Pierre Carles ou Daniel Mermet, leurs journaux de référence. Les autres ne peuvent être que de révérence. Seuls Le Monde diplomatique et Charlie-Hebdo (déjà un peu moins) trouvent grâce à leurs yeux. Et, bien sûr, une pléiade de sites participatifs, citoyens, interactifs, communautaires. En dehors d’eux, point de salut. » C’est d’ailleurs la raison pour laquelle n’écoutant que leur haine de soi tant de journalistes adhèrent à notre association ou sympathisent avec elle. C’est aussi la raison pour laquelle, non contents de soutenir les médias associatifs (sur lesquelles Ménard et Cie postillonnent leur dédain), nous proposons des transformations de l’ordre médiatique existant… que Médias protège de son rempart de pages en couleur et en papier glacé [11].
Et l’article de s’achever en apothéose. « Ils » est un admirateur inconditionnel des régimes de Cuba, du Venezuela et de la Chine. Inutile de préciser ici que ces régimes font l’objet de positions diverses et divergentes, voire opposées, parmi les « ils ». Notons simplement que la liste est incomplète et que Ménard a oublié que « ils » encense vraisemblablement les régimes d’Arabie Saoudite, d’Iran, du Tchad, de Birmanie, de la Tunisie, de la Libye et de la Corée du Nord ! Entre autres…
Caricature que tout cela ? On aimerait le penser, mais on se tromperait. Le mépris que témoignent nos trois compères et les plus extrémistes de nos défenseurs des médias dominants pour toute critique des médias qui ne leur est pas acquise et soumise, et, plus généralement, pour le débat, le doute, l’incertitude, renvoie à un vieux fond d’intolérance, voire de terrorisme intellectuel. Celui-là même qui leur a fait écrire cet article et les quelques phrases que nous venons de plagier [12].
Henri Maler (avec Mathias Reymond)
****
Pillages et plagiats : Nos tests comparatifs
- Le pillage consiste en simple travail de diffusion d’informations non sourcées. Ainsi sur la société « Respect sécurité » et l’existence de « fixeurs »
- Ariane Chemin et Mustapha Kessous - « Pour filmer les “quartiers ”, les reporters ont désormais leurs gardes du corps », paru dans Le Monde du 30 novembre 2007 – écrivaient :
« Les émeutes de Villiers ont suscité de nouvelles vocations. Vos caméras sont devenues indésirables ? Rachid Mimouni et Morad Bourouaha, les deux patrons de Respect sécurité, sont là pour vous aider. Leur équipe, quarante personnes mobilisables à tout moment, sait assurer la sécurité des reporters « télé ». Leurs parkas et blousons noirs, parfaits camouflages sans logos, se fondent à merveille dans la nuit. […] Au départ, Respect sécurité n’était qu’une association de banlieue, travaillant avec les collectivités locales. Il y a deux ans, elle est devenue une société commerciale : « Le bénévolat, ça a du bon un temps, explique M. Bourouaha. Le monde change. » La petite entreprise se spécialise dans la sécurité classique - le gardiennage avec maîtres-chiens -, celle des fêtes (pour la ville de Bagnolet) ou des concerts, de rap notamment. Il y a aussi la nouveauté : l’aide et la « sécurisation » des tournages. L’équipe lit les scripts, repère les lieux, recrute des figurants... Aïcha, de Yasmina Benguigui, ou La Commune, série actuellement diffusée sur Canal+, ont profité de leurs services. […] Respect sécurité s’est encore diversifié. « Ils « sécurisent » les reportages, comme ils le font pour les tournages, explique un journaliste client. Ils nous disent : « Passez par ici, ne passez pas par là. » Ils nous commandent de baisser la caméra, on la baisse. Ils sont discrets, mais on les sent capables d’être fermes si nécessaire. » La banlieue avait déjà ses « fixeurs », ces guides-interprètes pour reporter de guerre, elle a désormais ses « grands frères » gardes du corps : 30 euros HT de l’heure, forfait de quatre heures minimum. »
- Et voici la version Pillages sans frontières :
« Au point qu’on a pu entendre un vocabulaire habituellement réservé aux champs de bataille : pour travailler, il faut maintenant avoir recours à des « fixeurs », qui servent également de chauffeurs, comme en Irak. À Villiers-le-Bel, une quarantaine d’entre eux se sont regroupés sous le sigle « Respect sécurité ». Cette association de banlieue, devenue société commerciale en 2005, vend désormais ses services aux médias. Ses employés « sécurisent » les reportages, rassurent les équipes en tournage. On les dit « discrets », mais on les sent « capables d’être fermes si nécessaire ». Selon Rachid Mimouni et Morad Bourouaha, les deux patrons, les « grands frères », qui ont l’expérience des quartiers, arrivent « à désamorcer rapidement une embrouille ». Tarif : 30 euros de l’heure, hors taxes. Minimum de quatre heures. »
- Le plagiat se distingue parfois à peine du pillage : tous deux témoignent d’un profond mépris pour le travail d’autrui. Impossible de défendre la liberté de la presse et, en même temps, de mépriser le travail des journalistes. Mais à l’impossible Ménard et Veilletet ne sont pas tenu. Nouvel exemple, d’un plagiat avéré cette fois : Comparaisons entre l’article de Daniel Psenny, « Les médias comme cible à Villiers-le-Bel », Le Monde, lundi, 3 décembre 2007, p. 17 et sa version « Plagiaires sans frontières.. L’ordre des informations est le même dans les quelques lignes de l’article de Médias, et dans les quelques paragraphes de l’article du Monde non-cité (lire les passages en gras dans la version du Monde).
- Version Le Monde (non citée) : Ainsi, dès le dimanche soir 25 novembre, Luc Bronner, reporter au Monde , s’est fait agresser par un groupe de jeunes. Premier journaliste de presse écrite arrivé sur les lieux de l’accident, il raconte : « Je suis rentré dans la cité vers 19 h 30 avec ma voiture. Il y avait une centaine de jeunes cagoulés, dont certains armés de barres de fer qui mettaient le feu à des voitures. En m’approchant, j’ai croisé le regard de l’un d’eux. Il est venu me voir et , lorsque je lui ai dit que j’étais journaliste, il m’a fermement dit de dégager . Puis il m’a pris par le col de mon blouson et m’a poussé. Un autre jeune est arrivé et m’a donné un violent coup de pied dans le thorax. Je me suis dégagé et je suis parti en courant. Ils ne m’ont pas poursuivi. »- Version Plagiaires sans frontières (Médias) : Dès le 25 novembre, Luc Bronner, reporter au Monde, se fait agresser par un groupe de jeunes à Villiers-le-Bel. Lorsqu’il annonce qu’il est journaliste, on lui conseille fermement de « dégager » avant de le frapper.
- Version Le Monde (non citée) : Le lendemain, c’est au tour d’une équipe de France 3 Ile-de-France de se faire voler sa caméra. Noé Salemn, journaliste reporter d’images, est violemment frappé et traîné à terre. « Nous sommes arrivés vers 14 heures sur les lieux de la collision. Il y avait un groupe de jeunes, raconte-t-il. On a commencé à faire des interviews. Une personne plus agressive est arrivée ensuite, entourée d’une petite dizaine d’autres, venues exclusivement pour voler la caméra. J’ai résisté, ils m’ont traîné sur 5 ou 6 mètres en me donnant des coups au visage, à l’oreille, aux cervicales, au genou, sur les reins ... Au bout d’un certain temps, j’ai dû lâcher la caméra, et ils sont partis avec. »- Version Plagiaires sans frontières : Le lendemain, c’est une équipe de France 3 qui se fait voler du matériel : Noé Salemn, cameraman, est violemment frappé au visage, aux cervicales, au genou, dans les reins, avant d’être traîné sur cinq ou six mètres et de devoir lâcher sa caméra.
- Version Le Monde (non citée) : Toujours lundi soir, deux journalistes de LaTélélibre, une télévision diffusée sur le Net et dirigée par John Paul Lepers (ex-Canal +), ont été blessés.- Version Plagiaires sans frontières : Deux journalistes de LaTélélibre sont également blessés.
- Version Le Monde (non citée) : Par ailleurs, un journaliste du Parisien, un du gratuit 20 minutes et deux autres reporters du Monde ont été menacés ou se sont fait voler leurs téléphones portables.- Version Plagiaires sans frontières : Les envoyés du Parisien ou du Monde sont menacés et se font voler leurs téléphones portables.
_________________________________________________
[1] Emmanuel Lemieux, « "Médias", le retour », Le Nouvel économiste, n°1265, 25 juin-1er juillet 2004.
[2] Voir ici-même « Robert Ménard (RSF) sanctifié par Le Monde ».
[3] Daniel Psenny « Les médias comme cible à Villiers-le-Bel », Le Monde, lundi, 3 décembre 2007, p. 17.
[4] Dans le contexte précis des affrontements de Villiers-le-Bel en novembre 2007.
[5] Luc Bronner, journaliste du Monde, a reçu le prix Albert-Londres, pour une série de reportages dans les quartiers populaires, effectivement inhabituels.
[6] « Pour filmer les “quartiers ”, les reporters ont désormais leurs gardes du corps », paru dans Le Monde du 30 novembre 2007.
[7] Dans un article publié le 3 décembre 2007 par Dan Israel - « Les introuvables "fixeurs" des banlieues françaises » – indisponible gratuitement.
[8] Dans l’annexe de « Un sermon du Monde contre les acteurs des mobilisations sociales ». Au passage, réalisant un coup de maître, Ménard et Cie réécrivent l’article. Sylvie Kerviel avait écrit : « Un espace de quelques mètres carrés délimité par du fil de fer barbelé » . Ménard et Cie « citent » tout autrement, en rétablissant la vérité : « Un espace de quelques mètres carrés délimité par du fil de fer barbelé dessiné au feutre noir sur le sol […] ». Il est vrai que le 25 novembre l’auteure de l’article a publié un erratum dans les colonnes du Monde : « Une coupe malencontreuse dans l’article "Les AG d’étudiants se méfient des médias" , publié dans la « Fabrique de l’info » du Monde daté 18-19 novembre, a laissé croire qu’un fil de fer barbelé avait été déroulé à l’université Rennes-II pour délimiter un espace réservé à la presse, lors de la réunion de la coordination étudiante contre la loi Pécresse, le week-end des 10 et 11 novembre. Ce périmètre, figurant un fil de fer barbelé, avait en fait été dessiné sur le sol au feutre noir, précision qui manquait dans le texte publié (et rétablie dès le lundi 19 novembre dans l’édition disponible en ligne sur notre site Internet. »
[9] « Dans le même numéro, Ouest-France consacre un article au reportage d’un de ses journalistes dans un amphithéâtre occupé de l’université d’Angers, admettant que sa présence avait été autorisée par un vote à main levée. »
[10] Et le contexte le confirme : « La présence de journalistes dans des assemblées générales (ou des coordinations) et la substitution d’interviews individuelles à l’expression des porte-parole démocratiquement désignés sont des formes d’intervention et pas seulement (voire pas du tout) des moyens de recherche de l’information. Or aucun article de la presse dominante consacré à la question des rapports entre médias et mobilisations sociales n’a proposé de véritable retour sur la responsabilité sociale des journalistes. »
[11] Lire par exemple ici même : « Sacro-saint libéralisme : la revue Médias se prosterne ».
[12] « Caricature que tout cela ? On aimerait le penser, mais on se tromperait. Le mépris que témoignent nos jeunes contestataires et les plus extrémistes de nos syndicalistes [Sud et la CGT] pour une presse qui ne leur est pas acquise et, plus généralement, pour le débat, le doute, l’incertitude, renvoie à un vieux fond français [???] d’intolérance, voire de terrorisme intellectuel. »

Prème d'Amour # 121 :

Notre amour est un grand voilierLancé vers les alizésEmbarquant ses deux passagersQui parlent le même langagePour le plus beau des voyages,Avec l'âme et le coeur léger.
Le temps avait éteint notre flammeMais nous nous sommes rencontrées:Disparu le vague à l'âme,Nous conjuguons le verbe aimer...
Nous allons suspendre le temps,Transformer l'hiver en printemps,Redevenir adolescent,Mettre de la couleur sur le blanc.Dans les déserts infranchissables,Cueillerons les roses des sables.Au large des îles sous le vent,Pêcherons des poissons d'argent.
Nous arracherons les chaînesQui nous empêchent de volerPour saisir par la traîneLes comètes de la voie lactée.
Nous fuirons les orages, les lames de fond,Le calme plat, les habitudes,Pour découvrir les latitudesDe l'ivresse et de la passion...
Nos coeurs pareils à des volcansBouillonneront passionnément.C'est au seul plaisir de nos corpsQue l'on mesurera l'amour!Dans nos yeux brillera de l'or,Le voyage sera bien trop court
Mon Amour...
- Sandrine Menigoz - Publié par yassin à l'adresse

Texte de Valérie Bergmann Neuf semaines et demi:

Elisabeth, superbe blonde à la sensualité exacerbéeA déposé sa couronne de beauté jusqu'à ses piedsLui c'est John, fringant bookmaker au sourire ravageurMaître des lieux et maître de son courSon corps et le sien sont en osmose totaleCelle de la passion fataleMais il croit à la hiérarchie des sentimentsEt oubli de prendre son tempsPendant qu'elle, vivant cet amour comme un artSe délite au fil des jours de cet amour si puissantLui collant à la peau comme le veut le dit amantQu'il ne peut qu'être irréversible, ensorcelant est leur nectarAutant qu'éphémères sont leurs heures érogènesDe subtiles sensations ne durent jamais, paroxysme d'exaltationQuestion séculaire du choix de la passionDécrite ici avec intentions poétiques et interrogation féeriqueDu pouvoir divin de nous laisser prendre l'eau pour du vinVint le pire juste avant la finLa rupture arrive bien trop tôtCar Elisabeth avait jeté son étauEt tous les spectateurs ce soir làPleuraient dans la salle, et ça, ce n'était pas du cinéma

beaux Mots d'amour Pour votre plaisir, voici quelques Mots d'amour...

L'amour ? Il est trompé, fugitif ou coupable.L'amour a besoin des yeux, comme la pensée a besoin de la mémoire.L'amour a tellement de visages que l'on ne sait plus où donner de la tête.L'amour arrive lentement et repart en courant.L'amour arrive sur la pointe des pieds et repart en claquant la porte !L'amour authentique peut fort bien se passer de cadeaux, mais pas de présence.L'amour c'est comme la guerre, ça commence face à face et ça fini corps à corps.L'amour c'est comme la musique, il suffit d'une fausse note pour briser l'accord.L'amour c'est comme la neige soit ça fond soit c'est éternel...L'amour c'est comme le feu, beau mais dévastateur...L'amour c'est comme le rugby, on finit toujours par se faire plaquer.L'amour c'est comme un trésor mais beaucoup l'ignorent.L'amour c'est un château de cartes. Si difficile à construire, mais si facile à détruire.L'amour craint le doute, mais c'est pourtant à travers le doute qu'il nait.L'amour donne des ailes pour monter et une fois en hauteur nous les coupe.L'amour est à la vie ce que l'oxygène est à la respiration.L'amour est comme l'eau, quand on croit le tenir, il nous file entre les doigts.L'amour est éternel, la vengeance aussi...L'amour est infiniment grand mais celui que je te porte l'est encore plus.L'amour est la céleste harmonie des coeurs semblables.L'amour est la poésie des sens.L'amour est la sagesse du fou et la déraison du sage.L'amour est la seule maladie contre laquelle on ne pourra jamais lutter.L'amour est la seule passion qui se paye d'une monnaie qu'elle fabrique elle-même.L'amour est le plus grand et lourd fardeau qu'une personne puisse porter.L'amour est le reflet d'une femme dans le coeur d'un homme.L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas.L'amour est mon essence vitale, et je vais bientôt tomber en panne d'essence...L'amour est un bien qui fait du mal et moi je suis le mal qui te fait du bien.L'amour est un bouton de rose que seul un baiser peut faire éclore.L'amour est un fleuve où les eaux de deux rivières se mêlent sans se confondre.L'amour est un jeu, celui qui en sort gagnant est une personne heureuse.L'amour est un joyau si rare que seul le coeur peut lui servir d'écrin.L'amour est un poison qui se consomme avec passion.L'amour est un terrain de jeu où se déroule le match de la vie.L'amour est une chaleur que le coeur absorbe et diffuse.L'amour est une clé pour ouvrir et non fermer.L'amour est une équation de coeur qui se résoud avec deux inconnues.L'amour est une flamme claire et brillante qui ne s'éteint jamais.L'amour est une rose dont on ne voit que les épines !L'amour est une sottise faite à deux.L'amour fait passer le temps, et le temps fait passer l'amour.L'amour ignore la distance.L'amour même se transforme en vice quand on aime trop.L'amour naît dans un regard, grandit dans un baiser, meurt dans une larme.L'amour ne nourrit pas, il trompe l'appétit.L'amour ne tient qu'à un fil, à toi d'en faire un pull !L'amour n'est qu'un mot, ce qui importe c'est l'interaction qu'implique ce mot...L'amour n'est qu'une illusion qui se transforme souvent en une pure passion.L'amour n'est rien d'autre que la suprême poésie de la nature.L'amour peut mourir mais une fois fané, il sert d'engrais à une nouvelle passion!L'amour qui naît subitement est le plus long à guérir.L'amour, c'est comme du feu, quand il s'éteint, la braise reste à jamais...L'amour, c'est comme la mer: facile à polluer, difficile à nettoyer.L'amour, c'est comme le vent: On le sent, même si on ne sait pas d'où il vient.L'amour, c'est l'espace et le temps rendus sensibles au coeur.L'amour, c'est offrir à quelqu'un qui n'en veut pas quelque chose que l'on n'a pas.

c'est quoi l'amoure?

L’amour est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour.
L'amour peut être, selon la situation, faible, fort ou obsessionnel. Selon ces critères, il peut être plus ou moins contrôlé par la personne qui le ressent.
Par extension, l'amour désigne nombre de choses qui sont liées à ce sentiment, telles que, par exemple, l'objet de cet amour (« Mon amour »).
Une émotion complexe:L’amour est une émotion affective à la fois simple et complexe, perturbée par les cultures, débattue depuis des siècles et encore débattue de nos jours. Cet attachement affectif est un sujet de biologie (pourquoi l'amour), de psychologie (l'impact de l'amour et de son absence), de sociologie (son rôle dans les relations humaines), de philosophie (dans quel but aimer ?), de théologie (l'amour de Dieu), d'Art (l'amour dans tous ses arts), de divertissement (les plaisirs de l'amour), d'économie (le commerce de la rencontre amoureuse) et de sciences exactes (les molécules mises en jeu).
Dans la Grèce antique:
Ce terme d'amour, recouvre trois sentiments distincts de la Grèce antique : l’éros, la philia, et l’agapê.
* La philia se rapproche de l'amitié telle qu'on l'entend aujourd'hui, c'est une forte estime réciproque entre deux personnes de statuts sociaux proches. Elle ne pouvait exister à l'époque qu'entre deux personnes du même sexe, du fait de l'inégalité entre les sexes. C'est une extension de l'amitié.
* L’éros désigne l'attirance sexuelle, le désir. Il est l'une des passions néfastes que produit l'épithumia dans la pensée platonicienne. Cependant il pouvait se mêler à la philia à travers la pédérastie[1] .
* L’agapê est l'amour du prochain, une relation univoque que l'on rapprocherait aujourd'hui de l'altruisme. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n'est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse mais une réelle empathie pour les autres qu'ils soient inconnus ou intimes. Dans la tradition chrétienne des pères de l'Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d'une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance. L’agapê originel ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant une autorité divine.
sours: http://fr.wikipedia.org/wiki/Amour

Pour avoir envie de faire l'amour et donner envie de faire l'amour, rien de tel qu'une bonne communication :

* de la tendresse, être très affectueux
* une relation avec sa femme/son homme, pas seulement au moment de faire l'amour mais tout au long de la journée
* de la communication, donc de l'écoute, une compréhension mutuelleCommencer par des préliminaires
* échanger beaucoup de tendresse par des gestes et paroles tendres.
* Montrer qu'on aime son homme ou sa femme. Montrer son amour augmentera le plaisir.
* Prendre son temps avant de prendre son pied !
* L'homme ne doit pas hésiter à montrer sa tendresse, sa sensibilité, ses émotions. Il aura le temps de se montrer fort dans l'étape suivante.Des caresses partoutToute la peau du corps est sensible aux caresses, pas seulement les organes génitaux.Tout le corps de chaque partenaire peut recevoir des caresses :
* les lèvres
* la peau de la tête aux pieds
* les seins, les tétons des femmes et hommes
* le sexe, la vulve, le clitorisTout le corps de chaque partenaire peut donner des caresses :
* la main, les doigts* la peau, les membres, les pieds
* les seins, le sexe
* la bouche sous forme de baisers, la langue, le visage
* les cils, les cheveuxVarier les caresses, varier les rythmes, varier les positions.Donner des baisers, des bisous partout, les offrir en cadeau.Des préliminaires réussis
* Une confiance réciproque, se concentrer sur l'autre
* Préparer les corps et les esprits à l'excitation sexuelle : le corps de l'homme tout entier, et celui de la femme tout autant.A éviter
* L'homme qui veut pénétrer d'urgence et se précipite sur le sexe de sa femme alors qu'elle demande autre chose. Donc rester à l'écoute des désirs de la femme.Des préliminaires jusqu'à quand ?Les préliminaires sont réussis quand la femme est excitée (son vagin est lubrifié ce qui permettra une pénétration en douceur), et que le sexe de l'homme est en érection. Caresser le sexe pour le savoir.Si l'un des deux n'y est pas encore, reculer de 3 cases !VariantesParfois beaucoup de préliminaires, parfois peu ou pas du tout. Tout dépend la connivence entre les partenaires et l'envie réciproque du moment.Et le préservatifLa pose fait partie des préliminaires et peut être un jeu, bien vécu par les partenaires. Il peut être posé par l'un ou l'autre, avec la main ou la bouche.Après les préliminaires : l'amourLes caresses et baisers peuvent se concentrer sur les sexes, le rythme s'accélérer, la pénétration arriver.Se concentrer sur l'autre et sur soi.Comment mieux faire l'amourPour faire l'amour comme un dieu :
* varier les rythmes
* varier les positions
* continuer à communiquer pour que cela puisse durer le plus longtemps possible : l'autre ne sait pas forcément ce qui se passe dans votre corps et votre tête.Après l'amour : encore les préliminairesNe pas oublier qu'après l'amour, c'est en fait avant l'amour suivant, donc c'est une étape à ne pas négliger. Un moment de détente, d'échange affectif, très apaisant :
* des caresses tendres comme pendant les préliminaires
* re-montrer son amourLa toute première foisTout le monde a été vierge. Pour faire l'amour la première fois il faut :
* du temps
* une ou plusieurs séances de caresses sans pénétration* permettre à chacun de découvrir le corps et les réactions de l'autre* un endroit sympa choisi ensemble* un moment sympa choisi ensemble, sans être stressé par le tempsSans oublier :* un moyen de contraception choisi ensemble* un moyen de protection contre les MST, choisi ensemble (préservatif?)* des répétitions individuelles préalables pour bien savoir comment mettre un préservatif* savoir qu'une femme vierge aura éventuellement une petite douleur et un saignement si l'hymen se rompt.Le droit à l'échecDiscuter ensemble et avant l'amour des petits échecs qui peuvent arriver, cela diminue à la fois leur gravité et le risque qu'ils se présentent :* si l'homme éjacule trop rapidement, s'autoriser à recommencer plus tard, quand il sera moins stressé et moins pressé* accepter ensemble une alternative : si au cours du rapport sexuel on se rend compte que ce ne sera pas bien, ne pas insister et remettre au lendemain. L'alternative (insister pour pénétrer à tout prix) est rarement ce que préfère l'autre.* si lors du premier rapport sexuel la femme ou l'homme n'a pas de plaisir, passer au chapitre les fois suivantes. Et persévérer.A éviter* se précipiter* vouloir jouir à tout prixFaire l'amour quand la femme est enceintePour faire l'amour quand la femme est enceinte, il faut être aussi doux que si c'était la première fois. Surtout à la fin de la grossesse pour éviter de déclencher des contractions.Il y a faire l'amour et faire l'amourDe nombreuses façons de faire l'amour sont possibles. De nombreuses positions ont été décrites dans le Kama Sutra. Faire preuve d'imagination, essayer, en respectant sa femme, son homme, et soi-même.C'est d'ailleurs l'un des moyens de faire l'amour avec la même personne pendant de nombreuses années.Faire l'amour n'implique pas systématiquement la pénétration. Masturber l'autre ou se masturber ensemble procure aussi un orgasme très fort et épanouissant.Liens externes
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Sexualité_&_Sexologie
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_sexuel
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Préservatif
sours : http://1libertaire.free.fr/FaireAmour02.html

Amour & Sentiments:

Comment savoir que tu lui plais:Le regard-Il/elle ne fuit pas ton regard-Tu sens même qu'il/elle le recherche-Quand il elle détourne ses yeux de toi, il/elle rougit-Il/elle détourne son regard à chaque fois que tu le/la mates avec un petit air timide-Il/elle te regarde du coin de l'oeil> c'est bon !!!-Il/elle détourne franchement son regard à chaque fois que tu le/la mates-Il/elle se retourne vers ses potes et se marre dès que tu le/la mates> il/elle est peut être vraiment timide, mais ça n'a pas l'air bon signeLes gestes-Il/elle ne bouge pas quand tu t'approches-Il/elle se laisse faire si tu l'effleures l'air de rien dans le couloir ou en faisant la queue au self-Il/elle traîne devant jusqu'à ce que tu le/la rattrapes dans la file> c'est plutôt bon signe !-Il/elle a l'art de se volatiliser quand tu apparais-Il/elle s'écarte de toi quand tu passes> ça craint pour toi ! Mieux vaut changer de cible.Le langage muet-Il/elle sourit quand ton regard rencontre le sien-Il/elle se marre assez fort quand tu sors une grosse barre-Il/elle parle fort ou se fait remarquer quand tu n'es pas loin> c'est dans la poche-Il/elle regarde ses pieds quand tu passes ou quand tu lui parles-Il/elle a toujours l'air très occupé quand t'es dans les parages (histoire de dire, je suis busy, me dérangez pas !)> ça s'annonce mal.La rumeurC'est un bon baromètre. Et si il/elle ne s'occupe pas de toi, tu peux le/la forcer en lançant assez fort « je le/la trouve super canon machin/bidule ». T'inquiète pas,ça fera le tour de la cour en 10 secondes ;-)Tu peux aussi envoyer un de tes potes prendre la température dans le camp d'en face !Le feelingFais-lui confiance !!! L'instinct est souvent le meilleur conseillé même si parfois tu hésites à l'écouter. Alors si tu le sens bien : fonce !
Déclarer sa flamme :Tu es attiré(e) irrésistiblement depuis peu ou depuis longtemps par une fille ou un garçon, tu n'as jamais osé lui parler, tu sais pourtant qu'il ou elle est fait(e) pour toi : Mais comment lui avouer? Comment ouvrir son coeur sans peur, sans honte?Il faut tout d'abord être parfaitement sincère. Dévoiler ses sentiments n'est pas une chose facile, il faut faire face à ses angoisses, se préparer à recevoir un "oui" ou un "non". C'est aussi une sorte de libération qui enlève le poids d'une question angoissante jusqu'au point de ne plus vouloir avouer ses sentiments : est-ce qu'il ou elle ressent la même chose? Vais-je me ridiculiser? Ces interrogations peuvent être le frein principal à une déclaration.Tout d'abord avant d'avouer tes sentiments il faut que tu ais un peu de complicité, de la confiance et du bien être avec ton élu, si tu ressens toutes ces choses, alors il y a de fortes chances que ça soit le moment opportun. Mais attention ! N'avoues pas tes sentiments à le ou la première venue, même en cas de " coup de foudre ", il existe encore plus de risques que ce ne soit pas réciproque et ainsi faire fuir la personne.Il ne faut surtout pas brusquer les choses ; attend d'être vraiment prêt(e) à te "lancer" mais il ne faut pas trop tarder non plus !Souvent les filles ont du mal a ouvrir leur coeur au début de la relation et même si elles ressentent des sentiments réciproques certaines peuvent ne jamais faire le premier pas, attention donc aux garçons trop timides !Une déclaration ce fait généralement de vive voix, évite d'envoyer un de tes copains. Ne fais pas de longs discours, dis ce que tu as sur le coeur, dis lui que tu as quelque chose d'important à lui dire, vas droit au "but".Tu peux aussi essayer avec des phrases révélatrices comme "je suis bien avec toi" ou un compliment qui la ou le touchera de près. Si tu veux être très romantique le poème est toujours à la mode par écrit ou par mail du moment qu'il vient de toi. Pour être plus original : il existe des journaux qui ont une rubrique où tu pourras faire passer un message.Après ta déclaration la réaction est toujours différente en fonction des personnes mais l'interprétation que l'on se donne peut quelquefois être tout autre chose que ce qu'elle paraît être et ceci est souvent dû à la timidité. Certains se sentent génés, restent sans voix, ou changent de sujet tandis que d'autres tournent cela en dérision. Mais si la personne en face éprouve les mêmes sentiments que toi, nul doute qu'elle te le fera savoir.Alors courage !
Draguer une fille :Comment l'aborder, comment réussir à avoir un premier rendez vous... Voici toutes les réponses à toutes les questions que vous vous posiez. Bonne lecture...Comment l'aborder ?Ne joue pas le play-boy, Casanova, ça fait peur aux filles intéressantes ! En effet, si elles avouent aimer les physiques parfaits, elles tombent bien plus facilement amoureuse de mecs plus simples. Intéresser les filles, c'est aussi quand tu n'es pas en forme ne pas te plaindre toute la journée. Les filles n'apprécient pas les raleurs et veulent des mecs vivants ! Alors, tu sors, tu souris et tu t'éclates !Comment devenir amis ?Les filles aiment qu'on les admire alors n'hésite pas à les flatter sur leur physique, leurs talents sportifs ou artistiques. Essaie pour decouvrir ses talents, ses passions, ses goûts de rentrer dans sa bande en devenant copain avec ses copines. Cela facilitera la rencontre !L'aborder à l'école ? Facile !Elle a des difficultés en cours ou tu rames en maths? Propose lui de travailler ensemble en toute camaraderie ! Elle mange des bonbons ou boit un café? Demandes-lui de t'en passer un peu, ca créera des échanges intimes entre vous ni vu ni connu. Le lycée organise une sortie? C'est l'occasion pour l'approcher, suis-la dans le bus, amuses-toi avec ses amies! Car souvent de fois les amies donnent leur avis sur le gars et ceci influence énormément sa décision!Premier rendez-vous?Où aller, que proposer? Bonne question, ne fais pas le mec blasé, montre lui que tu as du caractère et propose lui tout un programme, à toi de voir ce qui la branche ! Il y a le classique ciné mais c'est peu pratique pour parler à moins que tu ne souhaites faire autre chose, choisis un film romantique, les filles aiment rarement les films d'action et tu pourra ainsi lui montrer que tu es un garcon sensible ! Invites-la au bar, ou à une après midi chez toi avec des copines comme ça elle ne sera pas intimidée !!
Les plans à éviter :Ne la harcèle pas, si elle ne veut pas lâches l'affaire quelques temps pour voir sa réaction et alors avise en temps voulu. Ne lui montre pas trop vite que tu es accro, tu risques de la faire fuir, elle cherche un mec sympa pas une sangsue. Evite aussi les crises de jalousie, une fille reste une fille, elle aime regarder les autres gars entre copines mais ça ne signifie pas qu'elle va passer à l'action ! Ne laisse pas téléphoner tes copains, elle penserait que tu te moques d'elle. Fais le mec sûr de lui mais pas prétentieux, elles aiment bien se sentir en sécurité mais aussi te sentir fragile pour te protéger commme un petit frère...Comment ne pas te décourager ?Elle te parait inabordable, tu ne te sens aucun charme, tu te dis qu'elle ne s'interessera jamais à toi ? Tu as tout faux, les filles aiment les garcons audacieux et le physique n'est pas tout, tu as surement bien d'autres qualités! Mets toutes les chances de ton coté, essaie de la connaitre, ses habitudes, ses passions, ses gouts musicaux et au moment voulu tu sauras de quoi lui parler lorsque tu le rencontreras !Que lui dire ?Ne lui parle pas très longtemps (pour éviter les blancs et qu'elle sente ta gène), fais le mec sympa et reste un peu mystérieux ça les fait craquer, elle cherchera à mieux te connaitre, fais lui des compliments, regarde-la droit dans les yeux, elle comprendra le message!Tu es timide ?Ecris lui une lettre ou un poème, tu prends moins de risques et tu contrôles mieux ce que tu as à lui dire mais il y a un inconvénient : tu ne vois pas sa réaction et elle risque de faire comme si de rien n'était lorsque tu la reverras. Alors réfléchis avant de prendre des risques! Mais qui ne tente rien n'a rien c'est bien connu. Un petit mot signé suffira alors pour lui donner un rendez-vous dans la cour où là tu lui avoueras la raison de ce mot...Draguer un gars :Vous avez envie de le séduire... Mettez tous vos atouts de votre coté c' est quelques conseils...Comment l'aborder ?Ne joue pas la fille parfaite ou le top Model, ça fait peur aux garçons intéressants ! En effet, s'ils avouent aimer les physiques parfaits, ils tombent bien plus facilement amoureux de filles plus simples. Intéresser les garçons, c'est aussi quand tu n'es pas en forme ne pas te plaindre toute la journée. Les garçons n'apprécient pas les râleuses et veulent des filles vivantes ! Alors, tu sors, tu souris et tu t'éclates !Comment devenir ami ?Les garçons aiment qu'on les admire alors n'hésite pas à les flatter sur leur physique, leurs talents sportifs ou artistiques. Essaie pour le découvrir et le connaitre un peu mieux de rentrer dans sa bande en devenant copine avec ses potes, ça facilitera la rencontre !L'aborder à l'école ? Facile !Il a des difficultés en cours ou tu rames en maths? Propose-lui de travailler ensemble en toute camaraderie ! Il mange des bonbons ou boit un café ? Demande-lui de t'en passer un peu, ça créera des échanges intimes entre vous ni vu ni connu. Le lycée organise une sortie ? C'est l'occasion pour l'approcher, suis- le dans le bus, amuse toi avec ses amis !Premier rendez-vous ?Où aller, que proposer ? Bonne question, ne fais pas la fille désintéressée, montre lui que tu as du caractère et propose lui tout un programme, à toi de voir ce qui le branche ! Il y a le classique ciné mais c'est peu pratique pour parler à moins que tu ne souhaites faire autre chose, choisis un film d'action les garçons aiment rarement les films romantiques et tu pourra ainsi simuler la peur et lui attraper la main! Invite-le au bar, ou à un après-midi chez toi avec des copines comme ça il ne sera pas intimidé ! Les plans à éviter :- Ne le harcèle pas, lâche l'affaire quelques temps pour voir sa réaction et alors avise en temps voulu.- Ne lui montre pas trop vite que tu es accro, tu risque de le faire fuir, il cherche une fille sympa pas une sangsue. Evite aussi les crises de jalousie, un mec reste un mec, il aime regarder les autres filles mais ça ne signifie pas qu'il vas passer à l'action !- Ne laisse pas tes copines lui téléphoner , il penserait que tu te moques de lui. Fais la fille sûre d'elle mais pas prétentieuse, ils aiment bien se sentir en sécurité mais aussi te sentir fragile pour te protéger comme un grand frère...Comment ne pas te décourager ?Il te parait inabordable, tu ne te sens aucun charme, tu te dis qu'il ne s'intéressera jamais à toi ? Tu as tout faux, les garçons aiment les filles audacieuses et le physique n'est pas tout, tu as sûrement bien d'autres qualités ! Mets toutes les chances de ton coté, essaie de le connaître, ses habitudes, ses passions, ses goûts musicaux et au moment voulu tu sauras de quoi lui parler lorsque tu le rencontreras !Que lui dire ?Ne lui parle pas trop longtemps pour éviter les blancs et qu'il sente ta gène, fais la fille sympa et reste un peu mystérieuse ça les fait craquer, ils chercheront à mieux te connaître, fais lui des compliments, des sourires. Tu es timide ? Ecris lui une lettre ou un poème, tu prends moins de risques et tu contrôle mieux ce que tu as à lui dire mais il y a un inconvénient : tu ne vois pas sa réaction et il risque de faire comme si de rien n'était lorsque tu le croiseras, alors réfléchis à deux fois et prends plutôt le risque de lui parler parce que souvent ils ne sont pas friands des lettres d'amour ou des poêmes! Un petit mot signé alors suffira pour lui donner un rendez-vous dans la cour où là tu lui avoueras la raison de ce mot... :)
Embrasser : Comment embrasser?Le baiser est un acte d'amour qui comporte un bagage de sentiment, d'émotion, et de sensation (qui peuvent être positifs ou négatifs ) et qui est propre à chaque individu. Il est aussi nécessaire de mentionner que le baiser peut être d'ordre sexuel puisqu il est bien sûr la source d'une multitude de jeux, de préambules, et de fantasmes liés à la sexualité.Il existe diverses possibilités de donner un baiser : il y a le baiser régulier (soit lèvres contre lèvres), le baiser prolongé qui peut être un jeu de lèvres ou une série de baisers, le " french kiss " qui implique généralement l'utilisation de la langue.Plusieurs personnes mentionnent que leur premier baiser amoureux s'est déroulé naturellement. Mais il est compréhensible que la nouveauté du premier baiser apporte une certaine inquiétude.Celà étant dit, voici quelques conseils de base à savoir qui vous permettront d'être prêt(e) psychologiquement, et d'avoir confiance en vous au moment propice. Aussi, avant de passer à l'aspect technique du baiser apprenez à vous préparer physiquement et psychologiquement.La préparation physique et mentale :Préparez vous physiquement en soignant votre bouche, l'attrait qu'elle comporte et la zone que l'on vise occupe une place prépondérante. En effet, qui dit " bouche " ne dit pas que " lèvres " car tous les éléments de la zone buccale doivent être pris en compte. Autrement dit aussi bien l'intérieur que l'extérieur de la bouche sont importants. Ayez donc une bouche appétissante.Les lèvres :C'est ce qui attire et que l'on embrasse en premier.Investissez (aussi bien les filles que les garçons) dans des crèmes hydratantes pour lutter contre les lèvres gercées.Baumes pour lèvres, cold cream peuvent faire l'affaire.Il est très important d'en appliquer régulièrement (minimum 3 fois par jour de préférence après chaque repas) pour préserver la douceur des lèvres qu'on aura envie d'embrasser.Pour les filles, vous pouvez avoir recours à des gloss parfumés incolores qui leur donneront un aspect brillant et un léger parfum. Mais évitez d'en abuser. Idem pour le rouge à lèvres, les mecs détestent çà !Bannissez l'haleine de chacal :Même le prince charmant ou la plus éprise des dulcinées ne résistent pas à la bouche de l'enfer.Soignez donc votre hygiène buccodentaire si vous ne voulez pas voir votre partenaire fuir à toute jambe. Il est important pour cela de se laver les dents 3 fois par jour (au minimum 2, si vous n'êtes pas chez vous à midi).Il est également nécessaire de consulter le dentiste (au moins deux fois par an même si vous pensez n'avoir aucun problème).L'alimentation joue également un rôle important. Mangez sain, équilibré et surtout mâchez lentement les aliments. Vous pouvez toujours avoir recours au chewing -gum ou au bonbon à la menthe que vous prendrez soins de jeter très discrètement avant de passer à l'acte.Préparez vous mentalement :Choisissez l'endroit idéal, arrangez vous pour vous retrouver dans un endroit isolé, calme et le plus éloigné de la foule et d'une quelconque autorité.Soyez détendu(e). Si vous êtes stressée, respirez profondément. Mais surtout pour évacuer le stress concentrez vous sur l'autre, sur l'effet qu'il ou elle vous fait et sur le plaisir que vous avez en sa compagnie. Oubliez tout autre sujet, vivez l'instant présent! Pensez au plaisir que vous ressentirez une fois que vous serez dans les bras l'un de l'autre.Les techniques du baiser :- Le baiser prolongé ou régulier :La technique du baiser prolongé ou régulier est une série de baisers qui se donne avec les lèvres et sur les lèvres. Ne croyez pas que le baiser est un acte qui consiste à mettre votre bouche en cul de poule et de se ventouser sur le bouche de l'autre. Le baiser s'apparente plus à la dégustation d'un met rare, que l'on goûte du bout des lèvres et avec délectation....Fermer les yeux ou pas? Il y a les adeptes des yeux clos et au contraire les inconditionnels du baiser à regard dévoilé. A vous de choisir votre préférence... Mais pour le premier choix je vous conseille de ne pas fermer les yeux trop tôt au risque de manquer votre cible. Ce serait dommage de passer à côté !Entraînez vous avec votre main, il faut qu'au moment où vos lèvres se rapprochent, vous entrouviez légèrement la bouche. Arrivé à 5 cm du but (sa bouche), quand vous commencez à voir flou , tournez légèrement la tête pour éviter de vous cogner le nez. Gardez les lèvres entrouvertes, continuez votre progression jusqu'au bout et refermez très doucement les lèvres sur l'une des siennes (sa lèvre supérieure ou inférieure, c'est comme vous le sentez). Soyez délicat(e), il ne s'agit ni de pincer ni de mordre mais d'effleurer du bout des lèvres . Recommencez ensuite de même sur l'autre lèvre et tout autour de sa bouche. Plus vous appuierez vos baisers plus ce sera passionné.Généralement le baiser s'accompagne du célèbre " french kiss " que l'on voit au cinéma et qui consiste à sortir la langue. Mais beaucoup de personnes appréhendent ce moment et choisissent de ne pas le faire par peur de ne pas savoir s'y prendre. Aussi voici un quelques conseils qui vous aideront à mieux vous y prendre.Le " french kiss " (autrement dit le baiser avec la langue) :Vous êtes donc en train de vous donner des petits baisers et vous sentez qu'il est temps de passer à la vitesse supérieure .Tandis que vous l'embrassez, entrouvez les lèvres, votre partenaire comprendra que c'est le signal et fera de même. Ouvrez alors plus largement la bouche et surtout pensez à bien desserrer les dents. Votre lèvre supérieure se placera ensuite très naturellement au coin de ses lèvres , et la lèvre inférieure dans l'autre coin.C'est là que vous introduisez la langue. Commencez donc ,langue contre langue, à explorer la sienne avec la vôtre .Ne soyez pas pressé (vous n'êtes ni un ventilateur, ni une machine à laver, inutile de tourner 7 fois votre langue dans sa bouche avant d'y arriver). Explorez plutôt doucement sa langue du bout de la votre dessus et dessous. Laissez vous guider par votre envie et surtout par celle de l'autre, soyez toujours à l'écoute de ses désirs.Si ces baisers se font plus pressants, embrassez le également avec passion, en approfondissant votre baiser ç'est à dire en pressant plus fort vos lèvres contre les siennes et en avançant légèrement la langue.Vous pouvez également choisir de changer de côté si vous en avez envie tout en continuant de l'embrasser soit par des petit baisers soit en continuant le " french kiss ".N'oubliez quand même pas de respirer par le nez, ce serait dommage de vous étouffer à un tel moment. Quoique votre partenaire pourrait vous faire du bouche à bouche, mais là c'est une toute autre technique !Enfin terminez par quelques baisers quand bon vous semble, et un petit mot doux à l'oreille si vous êtes inspiré. Serrez vous dans les bras l'un de l'autre et le tour est joué.Ceci étant dit , il est important que vous sachiez qu'une même " technique " employée avec une personne aimée et désirée ne procurera pas le même degré de plaisir qu'avec une personne pour qui peu de sentiment sont ressentis. En somme le baiser va bien au delà de l'énumération de technique, puisque la technique dépourvue de son côté affectif, retire toute la beauté du baiser. Par ailleurs si vous avez peur d'oublier ces conseils au moment venu , ne vous en faites surtout pas ,vous verrez que tout se fera spontanément. La découverte des plaisirs lorsque vos bouches se réuniront vous reviendra et vous trouverez, en compagnie de la personne désirée, ce qui vous plait davantage au niveau des sensations.
sours : http://www.adofr.com/articles/index.php?catid=0